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Mis à jour: 24 juillet 2025


Et tout après le «Chenil», le frontispice des fables de l'ami Prarond. Préault voulait exécuter ce frontispice en marbre. Des Amours entourent, avec la grâce perdue du XVIIIe siècle, un rustique médaillon de mademoiselle de la Sablière, jeté dans les feuilles.

C'est hier, disions-nous, que j'ai rencontré M. Ernest Prarond dans le petit cabinet de travail le bon Asselineau, entouré de dessins de Nanteuil, feuilletait les éditions romantiques qui lui rappelaient sa jeunesse. Pendant la Commune, il avait fait son service

Autour de la table, dans le brouillard des cigarettes, on aperçoit la grosse face de Prarond; la mine superbe du député-caricaturiste Buisson, le profil du peintre Toulmouche, une barbe chinchilla que je ne connais pas, et que je vois toujours l

C'est hier, il me semble, que j'ai vu M. Ernest Prarond pour la première fois; hier, vraiment, en 1871, au lendemain de la guerre et de la Commune, dans ce petit logis de la rue du Four-Saint-Germain Charles Asselineau finissait de vivre avec la politesse d'un bourgeois de Paris et la grâce d'un lettré. Depuis, la vie ne m'a pas ménagé beaucoup de rencontres avec le poète abbevillois. Pourtant, la physionomie de M. Prarond est restée dans ma mémoire et j'aime

Ici le fabuliste Prarond a le Cavalier et le cheval

M. Prarond, dans son commentaire, compare le Mystère du siège d'Orléans, au De gestis Joannæ virginis et oppose très ingénieusement «aux hexamètres du légionnaire trop armé les courtes lignes

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