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Remerciez Augier et Ponsard, si vous les voyez; surtout le prince, qui s'occupe aussi de moi avec le coeur que nous lui savons. Bonsoir, chère et bonne cousine; toutes mes tendresses au cousin et aux chers enfants. Vous savez donc aussi la botaniqne, vous? vous savez donc tout?

La caricature, me répondra M. Bertal, a le droit de se moquer de tout, du laid, du beau et du médiocre. Heureusement pour lui nous n'avons pas le temps de discuter, et nous reconnaissons, après tout, que notre critique a fait des charges fort spirituelles des plus belles scènes de la remarquable tragédie de M. Ponsard. Lucrèce racontant son songe

8 août. Thierry nous racontait que Ponsard, le soir de sa lecture (LE LION AMOUREUX), avait assisté au SUPPLICE D'UNE FEMME, et qu'

M. D... est un homme du monde qui s'est fait homme de lettres amateur, et se livre particulièrement au pastiche. Il fait du Balzac, comme M. Ponsard fait du Corneille; il fait du Musset, comme M. du Terrail fait du Soulié: il fait du Sand, comme M. Lucas faisait autrefois du Calderon. Chaque fois qu'il a terminé une composition, il va la soumettre

Quelle ligue de toutes les médiocrités, de toutes les impuissances pour faire un Ponsard, contre un Hugo. Y a-t-il eu des envies qui ont couver contre nous, pour éclater ainsi? Et pourquoi nous envie-t-on? Il n'y a au fond que deux choses

«Vous n'avez jamais vu Ponsard? Oh! moi, toujours, répond Gautier, c'est l'homme avec lequel on a tapé sur mes admirations... c'est la mâchoire d'âne dont on s'est servi pour assommer Hugo.

Ma grande intimité avec Gounod date des chœurs d'Ulysse. Ainsi qu'Augier, Ponsard était un familier du salon de Mme Viardot les littérateurs les moins férus de musique étaient attirés par son mari, littérateur distingué lui-même, mis en vue par une traduction de Don Quichotte fort estimée et par des travaux sur la peinture, diversement appréciés, mais très remarqués. Ponsard, ayant songé

Zola n'apprécia cette attitude que comme une révolte littéraire. Elle était conforme au goût bourgeois d'alors. On applaudissait la Lucrèce de Ponsard et les Ennemis de la Maison de Camille Doucet, par esprit de réaction, plus politique que poétique. Les romantiques, bien que beaucoup, comme Théophile Gautier, eussent les faveurs des Tuileries, passaient pour «des rouges».

M. Alexandre Parodi ne va pas moins être mis bien au-dessous de Ponsard et de Casimir Delavigne par les amis de nos poètes lyriques. J'ai déj

Veuillot, l'aboyeur des idées de M. de Maistre. Les tragédies de Ponsard ont le mérite artistique d'un camée antique moderne. «J'attendraila devise du cardinal de Bernis me sourit.