Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 23 mai 2025


Toutes les filles d'opéra, danseurs et danseuses qui avez si bien gigoté et remué le croupion, donnez-nous votre élasticité. Divin Girard, et vous illustre Cadière, mortifiez notre chair. Tous les saints célibataires et coureurs de bordel, protégez nos taudions. De tout enculeur, délivrez-nous. De tout fouteur en bouche, préservez-nous. De toute pine vérolée, garantissez-nous.

Il n'est plus de ce monde; Mais je vois que maman, Dans sa douleur profonde, Le voudrait voir vivant. Je n'ai point de richesse; Mais mon con, n'est-ce rien? Mes tétons et mes fesses M'en procureront bien. Une pine nerveuse, Et deux couillons dodus, Sont pour une fouteuse Les trésors de Crésus. Je veux, quoiqu'on en dise, Foutre jusqu'au tombeau. Mourir dans cette crise, Est-il un sort plus beau!

Grand Saint, vous qui êtes le protecteur déclaré des putains, qui ne leur refusez jamais rien, faites, par votre entremise, que jamais la vérole n'altère mon tempérament, que ma chair soit toujours blanche, fraîche et dodue, afin de pouvoir accaparer beaucoup de pratiques et de michés; inspirez-moi cette vive ardeur de foutre qui vous animait ici-bas; donnez-moi la raideur des coups de culs, leurs élancements et le talent admirable de savoir désarçonner par eux une pine bien encrée, et de la renconner aussitôt; suggérez-moi les discours les plus libertins, les postures les plus voluptueuses, les attouchements les plus licentieux, afin que les hommes trouvent dans moi toutes les ressources et le raffinement des plaisirs de la chair et du cul, et viennent de préférence me donner leurs pines; et qu'après avoir bien fait mon truc avec mon con et mon cul, je me repose tranquillement, et n'aie plus d'autre occupation, d'autres jouissances que celle de contempler toutes les parties de notre beau corps, et lire les actions de fouterie qui vous ont valu le titre glorieux de protecteur et consolateur des garces; et que me trouvant un jour réunie près de vous, je décharge paisiblement sous vos yeux pendant la durée des siècles.

Je n'ai pas pris la pine de monter, maman, dit-elle en voyant sa mère: on m'a mis vos habits. Voyez comme c'est drôle! Elle riait, mais ses dents claquaient, quoi qu'elle en eût.

Leur pine vigoureuse et leurs fesses joyeuses Réjouissent la nuit et ma queue et mon cu; Sous la lampe et le petit jour, leurs chairs joyeuses Ressuscitent mon désir las, jamais vaincu. Cuisses, âmes, mains, tout mon être pêle-mêle, Mémoire, pieds, coeur, dos et l'oreille et le nez Et la fressure, tout gueule une ritournelle, Et trépigne un chahut dans leurs bras forcenés.

Mot du Jour

etorent

D'autres à la Recherche