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Mis à jour: 7 juillet 2025
Napoléon paraît avoir environ cinq pieds six pouces. Il est de structure épaisse et vigoureuse. Son cou est court et sa tête assez grosse; elle est particulièrement carrée et massive des mâchoires et il a un abondant double menton. Il est chauve sur les tempes, et les cheveux, sur le sommet de sa tête, sont clairsemés, mais longs et rudes; ils ont l'air d'être rarement brossés. Napoléon manque de grâce dans ses mouvements, mais il fait très peu de gestes et porte la tête avec dignité. Il est gras et son ventre se projette en avant. Ce défaut est rendu encore plus sensible par la coupe de son habit, qui a des basques très courtes et retroussées et qui est boutonné très juste au creux de l'estomac, d'où il s'ouvre brusquement, permettant de voir un large espace de gilet blanc. Son uniforme était vert, avec collet et parements rouges, mais sans galons ni broderies; de petits boutons dorés et des épaulettes d'or. Il portait une cravate blanche, un gilet blanc et des culottes de même couleur, des bas de soie et des souliers avec de petites boucles dorées. Une toute petite épée, de forme ancienne, avec une poignée d'or ouvragé, était serrée
Cette construction est une des plus soignées parmi celles d'Uxmal; les parements sont dressés avec art et la décoration pleine de grandeur.
Celle que naguère courtisaient Brancas et de Foix, celle que La Fontaine et Chaulieu nommaient Iris et chantaient dans leurs vers, celle qui fut avec Ninon de ce souper où Molière et Boileau composèrent le latin du Malade imaginaire, maintenant, cherchant le bonheur par des voies nouvelles, renfermait sa vie dans une salle d'hôpital et dans une froide église qu'ornaient seulement les peintures austères de Philippe de Champaigne; elle priait, jeûnait, méditait saint Dorothée, et, pour divertissement, brodait des parements d'autel.
Jusqu'alors on s'était occupé en raison des besoins nouveaux de modifier la forme et la situation des tours et courtines, les détails de la défense; mais depuis le XIe siècle le mode de construction de la fortification n'avait pas changé: c'étaient toujours deux parements de pierre de taille, de brique ou de moellon piqué renfermant un massif en blocage irrégulier. Contre la sape ou le mouton ce genre de construction était bon, car les pionniers entamaient plus difficilement un massif en blocage dont la pierraille et le mortier étaient durs et adhérents, qu'une construction appareillée facile
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