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Mis à jour: 27 juin 2025
Ce corps était composé de deux divisions d'infanterie, une aux ordres du général Suchet, l'autre commandée par le général Gazan; de trois régimens de cavalerie légère et d'une division de dragons, aux ordres du général Becker: il devait être appuyé par le corps des grenadiers réunis, commandés par le général Oudinot, qui en achevait la formation
Cependant, l'ennemi, confondu dans ses projets, revint peu a peu de sa surprise, et tenta de ressaisir quelques avantages dans ce nouveau champ de bataille. A cet effet, il détacha plusieurs colonnes d'infanterie, un bon nombre de pièces d'artillerie, et sa cavalerie tant de ligue qu'insurgée, pour essayer de déborder la droite de l'armée française. En conséquence, il vint occuper le village de Rutzendorf. L'empereur ordonna au général Oudinot de faire enlever ce village,
Aussitôt il dirige tous ses corps sur Beszenkowiczi; il y appelle Murat et Ney, alors vers Polotsk, où il laisse Oudinot. Quant
«L'empereur est fâché que le général Oudinot vous ait quitté, parce qu'ayant trouvé l'ennemi, il aurait fallu faire une demi-marche sur lui. Il serait fâcheux pour vous qu'instruit du départ du général Oudinot, il se reportât en avant pour se rapprocher de vous, et fît en quelque sorte disparaître le fruit de votre victoire. Puisque vous avez envoyé le général Suchet
Dans la nuit, le maréchal Oudinot fut réveillé. Le Roi lui envoyait, au lieu de la rédaction de l'ordre du jour fait selon ses ordres et soumis
L'ennemi avait brûlé ses ponts, ses magasins: il fuyait par plusieurs routes, mais toutes dans la direction de Drissa. Napoléon fit recueillir ce que le feu avait épargné, et rétablir les communications. Il poussa Murat et sa cavalerie sur les traces d'Alexandre; en même temps, il jeta Ney sur sa gauche, pour appuyer Oudinot, qui, ce jour-l
Les maréchaux ducs de Montebello et de Rivoli ont montré dans cette journée tonte la force de leur caractère militaire. L'empereur a donné le commandement du second corps au comte Oudinot, général éprouvé dans cent combats, où il a montré autant d'intrépidité que de savoir. Ebersdorf, 24 mai 1809. Onzième bulletin du la grande armée.
Ainsi l'un des chefs voulant manoeuvrer, et l'autre attaquer de front, on ne fit ni l'un ni l'autre. Oudinot se retira pendant la nuit
J'avais engagé mon artillerie pour soutenir Oudinot dans son mouvement, l'envoyai demander
Le général Oudinot a pris entre Altain et Ried un bataillon de mille hommes: ce bataillon était sans cavalerie et sans artillerie;
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