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Mis à jour: 20 mai 2025


Les Naïrs aiment leur famille plus qu'autre chose au monde, en font le but de leur existence. Comme tous les Indous, ils tiennent pour répréhensible l'homme qui, de propos délibéré, refuserait d'être père et se priverait des doux soucis que les enfants coûtent

Un bloc erratique en plein champ de blé, un menhir au milieu d'un jardin, dressant sa tête de granit au-dessus des pervenches, clématites et roses grimpantes, tels nous apparaissent les Naïrs, qui, dans un

Nulle population ne s'est complu davantage que les Naïrs dans la famille maternelle, ne l'a plus logiquement développée, en dépit des obstacles accumulés contre cette institution par une race admirablement intelligente, et qui, de plus, était servie par la victoire.

Les frères Naïrs se mettent souvent

Les Naïrs de l'ancien type, autant de guerriers spartiates, autant de chevaliers d'une Cour d'Amour. Tous savaient au moins lire et écrire; mais leur principale éducation se faisait au gymnase et

Somme toute, il y a du bon dans ce Malabar, que ses habitants, avec une ironie dont il ne faut pas être dupe, ont appelé la Terre des Soixante-quatre abus. Autant que la Chine, il mériterait d'être appelé le «Pays de la piété filiale». Dans l'empire du Milieu, toutes les institutions civiles et politiques dérivent du droit paternel; ici, elles procèdent du droit maternel. Tout batailleurs, fiers et orgueilleux qu'ils sont, les Naïrs obéissent sans regret

Les aborigènes se partagent en castes nombreuses. Tout en premier, la race guerrière et aristocratique des Naïrs . Quoique de souche soudra, disent les brahmines, ils se sont faits officiers militaires et civils, administrateurs de toute catégorie. Avec leurs sous-castes, ils formaient naguère le cinquième de la population. Venaient en dernier lieu la peuplade rustique des Tchermour , ou autochtones, et comme intermédiaires, les Tirs , émigrés de Ceylan, dit-on, pépinière d'artisans, cultivateurs et domestiques, devenus, depuis un temps immémorial, serfs et clients des Naïrs, leurs métayers ou fermiers. Tout modestes et retenues qu'elles soient, leurs femmes ne veulent d'aucun vêtement au-dessus de la ceinture; disant qu'elles ne sont pas des prostituées pour se couvrir les seins. Du reste, elles sont jolies, ont une superbe chevelure. Les dames anglaises, qui les engagent comme bonnes et nourrices, ont maintes fois essayé de leur faire porter fichu, au nom du décorum britannique, mais ont trouvé la ferme résistance qu'elles eussent elles-mêmes opposée, si on leur eût demandé d'aller dévêtues par voies et par chemins. Dans ce même Malabar,

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