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Mis à jour: 26 juin 2025


Un événement de quelque importance venait de se passer dans la famille consulaire, c'était le mariage d'Hortense de Beauharnais, avec Louis Bonaparte. Le Premier Consul, qui chérissait tendrement les deux enfants de sa femme, avait voulu marier Hortense de Beauharnais avec Duroc, croyant qu'un penchant réciproque rapprochait ces deux jeunes coeurs; mais ce mariage, peu favorisé par madame Bonaparte, ne s'était pas réalisé. Madame Bonaparte, toujours tourmentée par la crainte d'un divorce, depuis qu'elle n'espérait plus avoir des enfants, imagina de marier sa propre fille avec l'un des frères de son époux, se flattant que les enfants qui naîtraient de cette union, tenant par deux liens

Sur terre, nous créons, défendons les troupeaux, nous faisons multiplier nombre d'êtres qui ne naîtraient pas, seraient moins féconds, ou périraient jeunes, dévorés des bêtes féroces. C'est un quasi-droit que nous avons sur eux.

Salvat ne parut pas avoir entendu, et il bégaya sa foi, en une phrase embarrassée de grands mots: le sacrifice de son existence, pour que la misère enfin cessât; l'exemple d'un grand acte donné, avec la certitude que d'autres héros naîtraient de lui, pour continuer la lutte.

Le jeune général Bonaparte, qui, depuis deux années, occupait avec tant d'éclat la scène du monde, ne voulait pas aller se perdre dans la foule des simples généraux; il voulait tenir en haleine la renommée, et continuer d'attirer sur lui les regards. Il redoutait d'ailleurs une situation il serait sans défense contre les dangers qui naîtraient de sa gloire même. Assez ambitieux pour désirer le rang suprême, il n'était pas assez aveugle pour croire

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