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Mis à jour: 2 juin 2025
Tréguier, 19 mars 1831. Après deux mois écoulés depuis que Natalie m'a fait part de votre départ pour Tréglamus, j'ai un petit moment
Sur le siège, près du cocher, était une personne qui avait l'apparence d'une femme de chambre. «Natalie! ma nièce! dit le général en ouvrant la portière. Oh! mon oncle! mon bon oncle! Quel terrible malheur depuis que je ne vous ai vu! Mon pauvre Dmitri! mon excellent mari! tué! tué
Le général prit le bras de Natalie, la main de Natasha, appela Alexandre, Michel, Jacques et Paul, et marcha
Dérigny: «A la dernière station avant la frontière, mon général.» Le général: «Bon pâté, parbleu! c'est un dernier souvenir de ma pauvre patrie. Mange, Natasha; mange, Natalie; mange, Romane.» Et il leur donnait
«C'est parbleu trop impudent aussi. Figure-toi, Natalie, que ta soeur veut faire habiller son cocher, son forreiter (postillon), son courrier, ses laquais, ses femmes (six je crois), en m'obligeant
Mlle Natalie nous a dit que vous vouliez bien nous laisser venir au salon. Le général: Certainement, mon bonhomme; Natasha est mon chargé d'affaires; fais tout ce qu'elle te dira.»
Le général, ému de cette douleur si vive et si vraie, la serra dans ses bras et s'attendrit avec elle. Le général: «Ma pauvre enfant! ma chère Natalie! Pleure, mon enfant, pleure dans les bras de ton oncle, qui sera ton père, ton ami!...Pauvre petite! Tu as bien souffert!» Madame Dabrovine: «Et je souffrirai toujours, mon cher oncle! Comment oublierai-je un mari si bon, si tendre?
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