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Mis à jour: 1 juillet 2025
Nana avait donc trouvé le moyen de suffire
Le soir, le dîner fut d'une gaieté folle. On dévorait. Nana, très lancée, s'empoigna avec son maître d'hôtel, un garçon qui avait servi
Toutefois, une crainte s'empara de Nana Sahib. Ce fut que la nouvelle de sa mort, répandue dans toute la péninsule, n'arrivât aux oreilles de Kâlagani. Si celui-ci y ajoutait foi, n'abandonnerait-il pas son oeuvre de trahison vis-
Cependant, Nana, vers la fin de l'été, bouleversa la maison. Elle avait six ans, elle s'annonçait comme une vaurienne finie. Sa mère la menait chaque matin, pour ne pas la rencontrer toujours sous ses pieds, dans une petite pension de la rue Polonceau, chez mademoiselle Josse. Elle y attachait par derrière les robes de ses camarades; elle emplissait de cendre la tabatière de la maîtresse, trouvait des inventions moins propres encore, qu'on ne pouvait pas raconter. Deux fois, mademoiselle Josse la mit
Nana gonfla les joues, comme si elle retenait un grand rire. Ah bien! son père! il en disait d'autres! Mais Léonie, tout d'un coup, souffla très bas et très vite:
Personne ne l'avait vendue, Nana était sauvée. Elle rentra
«Alors les représailles commencèrent. Un certain nombre de révoltés, complices de Nana Sahib, étaient tombés entre les mains du général Havelock. Celui-ci lança le terrible ordre du jour suivant, dont je n'oublierai jamais les termes: «Le puits dans lequel repose la dépouille mortelle des pauvres femmes et des enfants massacrés par ordre du mécréant Nana Sahib sera comblé et couvert avec soin en forme de tombeau. Un détachement de soldats européens, commandé par un officier, remplira ce soir ce pieux devoir. La maison et les chambres où le massacre a eu lieu ne seront pas nettoyées ou blanchies par les compatriotes des victimes. Le brigadier entend que chaque goutte du sang innocent soit nettoyée ou léchée de la langue par les condamnés, avant l'exécution, proportionnellement
Le zingueur, d'une poussée, écarta la foule. Nom de Dieu! oui, c'était Nana! Et dans une jolie toilette encore! Elle n'avait plus sur le derrière qu'une vieille robe de soie, toute poissée d'avoir essuyé les tables des caboulots, et dont les volants arrachés dégobillaient de partout. Avec ça, en taille, sans un bout de châle sur les épaules, montrant son corsage nu aux boutonnières craquées. Dire que cette gueuse-l
Nana n'eut pas l'air de comprendre. Elle souriait, elle regardait Rose, son mari et le banquier; puis, elle dit
Nana, qui ne comprenait rien aux paroles chuchotées par le comte, n'osa pourtant demander de nouvelles explications. Il paraissait plus nerveux, il la confia brusquement
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