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Mis à jour: 28 mai 2025
L'infanticide et le concubinage sont punis de mort, mais la loi n'édicte rien contre les femmes «publiquement amoureuses, gaies et contentes, qui se tiennent par les chemins et se nourrissent au hasard de ce qu'on leur donne.» Cette tolérance est une sorte de soupape ouverte aux passions pour empêcher le concubinage et l'adultère. Zoroastre recommande aussi l'accouplement des bestiaux.
J'entends bien que la femme adultère n'eût point failli sans le concours d'un homme dont elle est souvent la victime. C'est l'évidence même. Aussi le Code pénal a-t-il fait preuve de clairvoyance et de sage raison en frappant plus sévèrement l'amant de l'épouse que la concubine du mari. D'après l'article 338, le complice de la femme encourt une pénalité plus forte que la femme elle-même. Et cela est juste; car, dans l'état de nos moeurs, le complice de la femme est presque toujours l'auteur de sa chute. A l'inverse, l'article 339 n'édicte aucune peine contre la complice du mari. Et cela encore est équitable, la concubine, que le mari a installée dans la maison conjugale, n'étant le plus souvent qu'une fille séduite. Voil
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