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Mis à jour: 29 juin 2025


Ils étaient seuls dans le coupé. Comme deux miroirs en face l'un de l'autre, leurs visages leur renvoyaient l'empreinte des jours d'agonie. Quelques jours seulement: et cette empreinte était si affreusement marquée que ni l'un ni l'autre n'osèrent se le dire. Maurice ne trouva que ce balbutiement: Pardon! Pardon!

Landry, qui voyait volontiers par les yeux de son frère, pensa qu'il avait peut-être bien raison, et ne défendit guère la Fadette contre lui. Ils causèrent ensemble sur le follet, que Sylvinet n'avait jamais vu, et dont il était bien curieux d'entendre parler, sans pourtant désirer de le voir. Mais ils n'osèrent pas en parler

Les yeux des jeunes gens brillaient d'une émotion contenue, mais leur respect était si grand qu'ils n'osèrent la témoigner d'abord. Après un silence, pendant lequel Korzof et sa femme échangèrent un regard qui résumait leurs longues années de bonheur, Pierre se leva doucement de sa place, et vint baiser la main de sa mère, sur laquelle il appuya longuement ses lèvres, puis il alla rendre

Sans s'en rendre bien compte, les deux enfants sentirent qu'il y avait quelque chose de particulier dans l'atmosphère. Ils reconnaissaient bien madame Nanette, mais comme elle ne leur disait rien, ils n'osèrent pas la saluer et se tinrent debout aussi devant ce redoutable groupe. Laissez-moi la questionner, dit le cordonnier.

Il était calme, mais l'agitation de la nuit se lisait sur son visage pâle et défait. Les femmes n'osèrent lui demander s'il avait bien dormi. Morrel fut meilleur pour sa femme, et plus paternel pour sa fille qu'il n'avait jamais été; il ne pouvait se rassasier de regarder et d'embrasser la pauvre enfant.

Le comte Pierre de Bretagne, aussi dangereusement blessé, se sauva, quoique poursuivi par plusieurs infidèles qui n'osèrent jamais l'approcher, étonnés de l'intrépidité avec laquelle il s'arrêtait pour les attendre, et leur insultait même par des paroles de raillerie.

Quand Rosette voulut monter dessus, le cheval s'agenouilla, et ne se releva que lorsque Rosette fut bien placée sur sa selle. Le roi Charmant sauta lestement sur son beau cheval alezan, et vint se placer aux côtés de Rosette. Le roi, la reine et les princesses, qui avaient tout vu, étaient pâles de colère, mais ils n'osèrent rien faire, de peur de la fée Puissante.

Les peuples établirent le régime républicain; mais le nom de roi, loin de devenir une injure, resta un titre vénéré. On a l'habitude de dire que ce mot était odieux et méprisé: singulière erreur! les Romains l'appliquaient aux dieux dans leurs prières. Si les usurpateurs n'osèrent jamais prendre ce titre, ce n'était pas qu'il fût odieux, c'était plutôt qu'il était sacré. En Grèce la monarchie fut maintes fois rétablie dans les villes; mais les nouveaux monarques ne se crurent jamais le droit de se faire appeler rois et se contentèrent d'être appelés tyrans. Ce qui faisait la différence de ces deux noms, ce n'était pas le plus ou le moins de qualités morales qui se trouvaient dans le souverain; on n'appelait pas roi un bon prince et tyran un mauvais. C'était la religion qui les distinguait l'un de l'autre. Les rois primitifs avaient rempli les fonctions de prêtres et avaient tenu leur autorité du foyer; les tyrans de l'époque postérieure n'étaient que des chefs politiques et ne devaient leur pouvoir qu'

Les sioux qui avaient surpris le camp des voyageurs n'étaient pas nombreux; ils n'osèrent point exposer leur vie inutilement. Ils savaient que tous les guerriers de la tribu seraient contents de prendre part

Les Turcs n'osèrent entrer sous la tente, que Maxime, la jeune femme, n'eût lié les mains de Grouïtza, et autour du cou ne lui eût attaché une chaîne formée de trente anneaux et pesant quarante okas; alors les Turcs sur lui se précipitèrent. Grouïtza fit un bond, emportant sur lui les trois Turcs, et en quatrième Maxime sa femme, et il allait se déprendre des Turcs, mais il songea au petit

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