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Mis à jour: 16 juillet 2025
66 page 136 ... le mysticisme et l'idéalisme, etc...
Au reste, dans la sphère où il se mouvait, l'orgueil se teint forcément de mysticisme. Quand on n'a aucun front terrestre au-dessus de soi, on y sent l'inconnu. Se croire pétri d'un autre limon que le commun des hommes, c'était pour Napoléon une manière d'être religieux; car dès lors il se sentait «élu». Il lui paraissait donc légitime de tout rapporter
Cependant, elle assista utilement la Reine dans l'entreprise de mieux régler les sentiments religieux de la princesse. Le mysticisme disparut peu
En littérature, en art, en philosophie, les successions d'opinions sont plus rapides encore. Romantisme, naturalisme, mysticisme, etc., naissent et meurent tour
Les Arabes connurent certainement la philosophie mazdéenne; mais ils surent ou comprirent fort peu de choses des systèmes indiens. L'influence qu'ils ont pu subir de la part de ces systèmes n'est guère sensible qu'en mysticisme.
Le caractère de la réforme au XIIe siècle fut donc le rationalisme dans les Alpes et sur le Rhône, le mysticisme sur le Rhin. En Flandre, elle fut mixte, et plus encore en Languedoc.
Ayant absous un tel homme, il put sans pharisaïsme s'absoudre lui-même et, avec l'aide de Dieu, quelques secours plus humbles et tout fraternels, de bonnes lectures, la fréquentation des douces chapelles conventuelles, M. Huysmans un jour se trouva converti au mysticisme, et écrivit En Route, ce livre pareil
De métaphores en métaphores, nous nous élevâmes au mystère du Sacrifice. «Mon Amour est crucifié» [Grec: ho hemos herôs hesthaurôtai]. Le mysticisme tel que nous l'acceptâmes nous paraissait la suprême dignité d'une âme humaine dédaigneuse d'intermédiaires entre sa noblesse et l'infinie noblesse de Dieu, entre sa quotidienne agonie et l'immortelle agonie du Christ. C'est selon ces dispositions que nous décidâmes d'assister désormais
Sérieusement on retrouverait chez lui, tout au fond, un peu des idées de Saint-Simon et d'Enfantin sur le rôle de la femme, moins le mysticisme et le galimatias. Et justement ces idées étaient en germe dans ce XVIIIe siècle que M. Fouquier aime tant, et dont il est.
Krishna fut un prince, ou chef indigène (le mot krishna veut dire noir), guerrier habile et heureux, qui rendit aux Brahmes des services signalés dans le cours de leurs luttes contre les Kchattrias, et dont les premiers, en récompense, firent une incarnation de Vichnou. Son culte et ses légendes, notamment celles de ses amours avec Radha, furent, dès l'origine, très licencieux, et Krishna fut sans doute tout d'abord le dieu du plaisir. Le Lalita-Vistara (vie poétique de Bouddha) confond Krishna avec Marah, le tentateur, le dieu de la concupiscence. Pour les besoins de leur lutte contre le bouddhisme, les Brahmes relevèrent le culte de Krishna, fort goûté du sensualisme hindou; ils lui laissèrent probablement toute la licence de ses pratiques pour le bas peuple, mais en même temps ils s'efforcèrent de l'entourer aux yeux des classes élevées d'une auréole de mysticisme. Krishna s'élève
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