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Mis à jour: 25 juin 2025
Le soubassement de la Tour communique directement avec deux embranchements du chemin de fer souterrain, dont trois stations s'ouvrent sur le square des Congrès. Un de ces embranchements relie tous les édifices importants de l'ensemble du Centre Mondial; l'autre,
Paris, la troisième ville dont Zola a voulu synthétiser le rôle dominateur et rayonnant, un des soleils du système mondial actuel, est le dernier volume de la trilogie des capitales. Le sobre titre du livre peut paraître ambitieux. Il est difficile de faire tenir dans un tome, si volumineux soit-il, et celui-ci dépasse 600 pages, ce que contient cette ville, ce que représente ce seul nom: Paris! Ce n'est pas un roman, un tableau, mais dix panoramas et vingt livres qu'il faudrait, pour contenir la vie de Paris, et encore on n'en donnerait qu'une incomplète monographie, et qu'une vision partielle. La série des Rougon-Macquart, sauf en quelques ouvrages, n'est qu'une histoire de Paris, de sa vie, de ses passions, de ses idées, de ses fermentations et de ses manifestations, fragmentée et étudiée, par milieux, d'après la profession et le caractère du personnage pris pour protagoniste de l'action. Ici, d'après le titre, devrait se trouver résumé, et comme condensé, tout ce qui constitue l'apparence matérielle, décorative, agissante, de l'énorme capitale, et aussi sa pensée, sa force civilisatrice, l'âme de Paris. Le livre de Zola ne renferme pas tant de choses. Il est même plutôt circonscrit quant au champ de vision qu'il offre au lecteur. L'auteur a décrit un coin du Paris politicien, combinaiseur de ministères et d'émissions, et montré l'écume du monde politique bouillonnant dans la ville qu'il compare, après Auguste Barbier,
L'horreur d'une nuit d'hiver, par coup de vent et tourmente de neige, au large, sans abri, sur la mer échevelée, en plein remuement noir. Une bataille, une révolte des eaux lourdes et froides contre le grand souffle mondial qui les fouaille en hurlant; une déroute de montagnes liquides, soulevées, chassées et battues, qui fuient en pleine obscurité, s'entrechoquent, écument de rage.
L'une et l'autre méconnaissent la loi du capital dans sa principale et décisive fonction actuelle, qui est celle d'un organisme canalisant le courant mondial du travail vers les points où le besoin s'en fait sentir le plus.
Le Centre Mondial serait placé sous un climat tempéré, de préférence au bord de la mer, pour faciliter des randonnées vers tous les points du globe.
À ce connaisseur de la société nous pouvons répondre: le phénomène mondial que nous appelons mécanisation, lorsque nous l'envisageons du dehors, a dû nécessairement engendrer une certaine sensibilité, une certaine attitude affective
Mais l'approvisionnement devient libre et facile, lorsque ma propre avidité cesse de réclamer le superflu et que l'avidité des autres cesse de vider toutes les sources, pour gaspiller en futilités et frivolités un tiers du travail mondial. L'homme qui réfléchit ne peut se défendre d'une certaine stupéfaction
Supposons la révolution sociale accomplie. À Chicago réside le président mondial qui trône cette année sur toutes les républiques faisant partie de la confédération universelle et dirige
Un jour viendra, peut-être, où nos descendants éloignés envisageront le retour au libre-échange mondial avec plus de sérénité que nous n'envisageons aujourd'hui l'isolement.
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