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Mis à jour: 30 avril 2025


La maison que Mlle Le Gras occupait sur la paroisse de Saint-Nicolas du Chardonnet, fut la première communauté des filles de la Charité. Leurs premières bienfaitrices furent Mlle Lamy, fille d'un administrateur de l'hôpital général, et Mme de Miramion. Et comme le nom de la duchesse d'Aiguillon était destiné

Mme de Miramion était morte dans l'exercice austère des plus fortes et des plus généreuses vertus, après avoir fondé un admirable asile les jeune filles sans fortune et les pauvres veuves déshéritées trouveraient aide et protection. Ce lieu d'asile prit le nom de sa fondatrice, et les dames s'appelaient les Miramiones.

Au XVIIe siècle, Mme de Miramion fonde la maison de la Sainte-Enfance des religieuses forment de petites orphelines au travail qui fait vivre,

Mme de Miramion, animée de l'esprit de saint Vincent, fonde une maison analogue, mais elle lui donne une grande extension; elle crée le refuge de la Pitié pour les femmes de mauvaise vie que l'autorité y fait enfermer de force, et le refuge de Sainte-Pélagie pour les femmes repentantes qui, de leur propre mouvement, viennent y mener une vie de pénitence.

Cette Dame s'appelloit Madame de Miramion, & c'est la même qui fait aujourd'hui tant de bruit

Mme de Miramion, qui n'avait que neuf ans lorsqu'elle perdit sa mère, en devint malade de chagrin; et toute sa vie, sa figure, de même que son esprit, garda la mélancolique impression de ce souvenir. Dès le jeune âge elle fut privée de sa mère, elle devait regretter de ne l'avoir pas assez aimée .

Nous savons ce que Mme de Miramion avait fait pour l'instruction primaire des enfants du peuple, et aussi pour leur instruction professionnelle. Sous ce dernier rapport, les dames de la Charité ont aussi mérité nos hommages, elles qui faisaient apprendre un état

Au respect du mariage se joignait souvent l'amour conjugal le plus tendre. La famille biblique est l'idéal que poursuit la pieuse famille française. «J'ai regardé ma femme comme un autre moi-mêmedit Pierre Pithou dans son testament daté du 15 novembre 1587 . Et que d'exemples analogues nous trouverons dans les livres de raison, dans les mémoires du temps! Quels ménages nous offrent M. et Mme de Chantal, M. et Mme de Miramion, le maréchal duc de Schomberg et sa belle et fière compagne Marie de Hautefort; le duc de Bouillon et sa femme, Mlle de Berghes, célèbre par son courage, par sa beauté, et tendrement unie

Pélagie (Sainte): Cette prison était, avant la Révolution, une communauté de femmes fondée en 1665, par madame Beauharnais de Miramion. Dans cette maison on recevait ou renfermait les filles ou femmes tombées dans le désordre et qu'on espérait ramener

Pour sauver ces âmes malades, Mme de Miramion avait le suprême remède, la miséricordieuse tendresse du Bon Pasteur qui ramène sur son épaule la brebis égarée. La Pitié et Sainte-Pélagie deviennent des établissements publics. Pour les fonder, Mme de Miramion avait rencontré parmi ses appuis, le grand coeur de Mme d'Aiguillon.

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