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Mis à jour: 14 juin 2025
Après avoir fait toutes mes commissions, acheté du café pour le jour de la noce, de la vanille pour mettre dans les crèmes, que la bru de Maréchou m'avait bien recommandé de ne pas oublier, une bouteille d'anisette pour les femmes, deux autres de cognac pour les hommes, je m'en fus prévenir M. Masfrangeas du jour qui était convenu. Il voulait me garder
Puis après, on servit de la daube de boeuf; et il n'y avait personne pour la faire comme la nore de Maréchou, aussi il y en eut les trois quarts qui y revinrent: la daube est une bonne chose quand elle est bonne.
Taisez-vous! malheureux! crièrent les femmes de chez Maréchou; mais les hommes ne dirent rien, et je crois qu'il y en avait qui pensaient tout au moins que le bon Dieu n'était pas trop bon en ce moment. Quand ce fut fini, qu'il ne tombait plus qu'un peu de pluie, nous sortîmes, et les gens du bourg en faisaient autant: chacun semblait pressé de voir son malheur, comme s'il pouvait en douter.
Le père Barnabé, lui, était un gros moine trapu et pansu, noir comme une mûre, avec une barbe frisée qui lui montait jusqu'aux yeux. C'était lui qui prêchait pour les paysans, avec une grosse voix brâmante qu'on entendait de chez Maréchou, et de temps en temps il faisait un prêche, rien que pour les hommes, et ceux qui y avaient été racontaient qu'il en disait de bonnes.
Pendant le temps du carnaval on dansait chez Maréchou, et de temps en temps, lorsqu'on était en train, le chabretaïre, au milieu d'une danse, faisait avec sa musique: lirou! lirou! lirou! C'était le signal pour les garçons d'embrasser leurs danseuses. C'est ce fameux lirou! lirou! qui faisait tant crier le curé. A l'entendre, toutes les filles qui étaient l
A propos de ce pauvre ami, je me souviens qu'un jour d'élection, devant chez Maréchou, il disait que tout le mal existant sur la terre provenait d'un manque d'équilibre. Il y avait des pays trop froids, d'autres trop chauds; des terres trop légères, d'autres trop fortes; des étés trop secs, d'autres trop mouillés; des hommes trop forts, d'autres trop faibles; des gens trop habiles, d'autres trop innocents; des citoyens trop riches, d'autres trop pauvres; et ainsi de suite. Et il ajoutait que s'il avait été l
Il était tellement peu endurant pour toutes ces choses, qu'ayant ouï dire que chez Maréchou on ne faisait pas toujours bien attention au vendredi et au samedi, rapport aux gens qui venaient des fois
M. Vigier s'en était retourné sur sa jument; Roumy emmena chez lui mon oncle Chasteigner avec sa femme, et Lavareille avec sa fille; Nogaret du Bleufond et l'autre Nogaret du Coucu s'en furent coucher chez Maréchou, et les autres s'eyzinèrent. On dédoubla les lits dans la grande chambre et partout; enfin on s'arrangea pour le mieux. Les plus enragés passèrent la nuit
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