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Mis à jour: 9 mai 2025
Puis venait un décret concernant les secours accordés aux veuves des martyrs de la révolution ou des victimes de la guerre, aux mères des héros qui, dans l'avenir, mourraient pour la patrie. C'était Manthonnet qui rédigeait ce décret, et, après l'avoir rédigé, il écrivit en marge de ce dernier paragraphe cette simple annotation: J'espère que ma mère aura droit un jour
Et nous parlons en hommes, nous, reprit Cirillo, et, comme elle, nous vous disons: «Salvato, ce serait notre devoir d'accepter.» C'est votre avis, Ruvo? demanda le jeune homme. Oui. C'est votre avis, Manthonnet? Oui. C'est votre avis, Michele? Oh! oui, cent fois oui!
Ils étaient vainqueurs, et chacun, même Manthonnet, maintenant que les communications étaient rétablies, pouvait regagner le point d'où il était parti. La porte du château, qui avait ouvert ses larges mâchoires, les referma donc sur Salvato et ses Calabrais, sur Michele et ses lazzaroni diminués d'un quart.
D'un autre côté, Nicolino, Manthonnet et Salvato faisaient des prodiges, que Michele imitait de son mieux. Le terrain se couvrait de morts. Il fut repris, abreuvé de sang pendant deux heures. Enfin, les républicains, vainqueurs, restèrent maîtres de la batterie. Les artilleurs furent tués sur leurs pièces et les pièces enclouées.
En ce moment, le planton entra et annonça le ministre de la guerre. Faites entrer, dit vivement Championnet. A l'instant même, Gabriel Manthonnet fut introduit.
Celui des quatre conspirateurs que nous avons désigné sous le nom de Schipani était un Calabrais de naissance. La loyauté et la bravoure étaient ses deux qualités dominantes: homme d'exécution sûre tant qu'il restait sous le commandement de deux chefs de génie, comme Manthonnet ou Hector Caraffa, il devenait, abandonné
Le pauvre garçon n'était ni un esprit fort comme Ruvo, ni un philosophe comme Cirillo, ni un coeur de bronze comme Manthonnet, ni un poëte comme Pimentel: c'était un enfant du peuple, accessible
Gabriel Manthonnet, chez lequel Hector Caraffa avait trouvé un asile, et que le bouillant patriote n'avait pas eu de peine
Vers la fin du combat, un corps de patriotes, conduit par Schipani et Manthonnet, est venu se jeter dans les rangs du général Dufresse. Ils annoncent que Nicolino s'est emparé du fort Saint-Elme; mais il n'a que trente hommes et est bloqué par des milliers de lazzaroni, qui amassent des fascines pour mettre le feu aux portes, et qui apportent des échelles pour monter aux murailles.
Aussi, lorsqu'ils surent qu'ils s'agissait d'enlever les pièces qui la faisaient, furent-ils tous, et Manthonnet le premier, d'accord qu'une troupe de deux cents hommes se joindrait aux deux cents Calabrais de Salvato et aux deux cents hussards de Nicolino.
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