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Quel merveilleux sujet d'étude que l'état mental d'un Lacordaire menant de front les soucis de l'opposition libérale et les travaux de la pénitence, inspirant des journaux politiques et se faisant attacher sur une croix! J'avoue, pour ma part, que, depuis saint Antoine jusqu'au père Didon, les moines m'étonnent. Et s'il faut définir la physionomie des dominicains restaurés, cela est particulièrement délicat. Il n'est d'abord pas supposable qu'ils procèdent tous également de leur père spirituel par le libéralisme de l'esprit, par le romantisme du langage et par le goût des voluptés ascétiques de la flagellation et du crucifiement. J'ai approché quelques-uns de ces fils de Dominique et de Lacordaire. Ils ne m'ont pas ouvert leur âme: le moine ne se livre jamais; il ne s'appartient pas; mais ceux-l

Ce bal offrait, dans un pays si caractérisé, des rapprochemens extraordinaires et qui m'étonnent encore. Il y avait d'un côté, toutes les hautes décorations de l'empire, de l'autre, tous les insignes des vieilles monarchies du Nord. Les chanoinesses autrichiennes avec leurs rubans et leurs médailles y étaient mêlées nos françaises, nos italiennes, étourdies de leur jeunesse et de leur élégance.

Quoiqu'il arrive, j'espère que vous ne vous laisserez pas ennuyer par les reproches malveillants. Les échecs ne m'étonnent pas. C'est contre les échecs que je travaille depuis quinze ans. C'est malgré les échecs que je suis resté fidèle

Les juges penchaient pour ce soldat. Le roi prit la parole, et dit: Son action et celles des autres sont belles, mais elles ne m'étonnent point; hier Zadig en a fait une qui m'a étonné. J'avais disgracié depuis quelques jours mon ministre et mon favori Coreb. Je plaignais de lui avec violence, et tous mes courtisans m'assuraient que j'étais trop doux; c'était

Dimanche 26 mai. Un jour, je me trouve avoir soixante-treize ans. J'ai la visite, ce matin, de deux Allemandes, les demoiselles Hirschner, dont l'une est peintre, et l'autre femme de lettres, et qui aurait, sous le pseudonyme d'Osipp Schubin, combattu en Allemagne pour ma gloire. Ces deux femmes m'étonnent par la connaissance qu'elles ont de: MANETTE SALOMON et de: LA MAISON D'UN ARTISTE.

Personne plus que moi n'admire les chirurgiens. Leur sang-froid, leur maîtrise d'eux-mêmes, leur habileté manuelle m'étonnent; les merveilleux résultats qu'ils obtiennent le plus souvent me font les considérer, au total, comme de vrais bienfaiteurs de l'humanité. Aussi ai-je l'espoir qu'ils ne m'en voudront pas si je me permets de faire remarquer que,