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Mis à jour: 10 octobre 2025
Je t'ai vu devant moi surgir. Tu étais beau. Le soleil au déclin, de la croupe aux sabots, T'empourprait tout entier de sa splendeur farouche. Ardent de ta vitesse et cabré de ta course, Tu dressais, sur le ciel derrière toi sanglant, Homme et cheval, le double effort de ton élan Où le poitrail de bête et la poitrine humaine Respiraient d'un seul souffle et d'une seule haleine. Alors, dans ce ciel rouge où tu m'es apparu, Comme un fatal présage, ô Centaure, j'ai cru Voir monter tout
Ne crains rien, dit le Breton, si tu m'es fidèle, Louison sera ton amie. Si tu conspires, elle, qui sait tout, l'apprendra bientôt et me le dira, ou mieux encore, d'un coup de griffe, elle mettra fin
Il parla ainsi, et, s'étant élancé, il remit une coupe profonde aux mains de sa mère bien-aimée et lui dit: Sois patiente, ma mère, et, bien qu'affligée, supporte ta disgrâce, de peur que je te voie maltraitée, toi qui m'es chère, et que, malgré ma douleur, je ne puisse te secourir, car l'Olympien est un terrible adversaire. Déj
Oui, tu m'es la plus chère, disait le prince, car ton coeur est le meilleur, tu m'est la plus dévouée et tu ressembles
Myrtil s'avançait au milieu Des Colombes, parmi les nues, Et des Abeilles revenues De leur voyage en ce haut lieu, D'où Rose eut le monde en offrande. Mais cette fois le Conquérant, Au monde même indifférent, Trouve enfin que la terre est grande Assez, puisqu'il a retrouvé Rose-Rose et son doux sourire, Et, tel que je l'ai pu décrire, Le Castel qu'il avait rêvé. Et comme il déposait son glaive En s'agenouillant sur le seuil, Rose s'en vient lui faire accueil De ses deux bras et le relève: «Heureux le jour où je te vois, Myrtil, heureuses les années Qui rassemblent nos destinées!» Dit-elle. Et le son de sa voix, Limpide comme une fontaine, Est frais comme les belles eaux Où viennent boire les oiseaux Après une course lointaine. «Heureux le songe où je t'ai vu! Et vous, compagnes dévouées De son retour, soyez louées, Abeilles, pour avoir pourvu De tant d'honneur son beau courage, Et pour me l'avoir ramené Aux lieux où notre amour est né, Dans le premier temps de notre âge. Cher époux, tu m'es donc rendu, Mais je n'eus que joie
Maintenant, dit le coadjuteur, il y a communion entre nous. Je t'ai béni et tu m'es sacré, comme
Frère, dit-elle, c'est une mauvaise pensée; mais il ne sera pas dit que je t'aurai rien refusé le jour où tu m'es rendu. Attends ici.
11. «Quoi! ne pas recevoir même cette pauvre fleur! Oh! je suis donc bien malheureuse! Tes regards peuvent-ils s'abaisser ainsi sur moi? et ne sais-tu pas qui t'aime plus que personne? Oh! cher Sélim! oh! toi qui m'es encore plus que le plus cher des frères! Dis, est-ce moi que tu hais ou que tu crains? Viens, repose ta tête sur mon sein, et je t'endormirai par mes baisers, puisque mes paroles et les chants même de mon rossignol fabuleux ne peuvent y réussir. Je savais que notre père était quelquefois sévère; mais j'avais encore
Tu m'es indifférent. Si ça t'est égal, je m'assiérai pour écouter tes explications qui menacent d'êtres longues. Et puis, parle moins fort, tu troubles ma digestion. Oui, je suis moins pour toi que la boue de tes souliers. Tu exagères encore, tu as trop d'imagination: tu m'es très utile, tandis que la boue de mes souliers est plutôt gênante. Nul mieux que toi, ne prépare le boeuf
Quel pouvoir a donc cet homme étrange pour être aimé ainsi! murmura José Diaz toujours caché derrière un arbre. Après un court silence, don Juan reprit la parole. Je sais que tu m'es dévoué, et j'ai en toi une entière confiance, mais tu es un ivrogne, Chillito, et la boisson conseille mal. Je ne boirai plus, répondit le gaucho. Don Juan sourit. Bois, mais sans tuer ta raison.
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