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Mis à jour: 13 juillet 2025
Parlez-nous de la belle princesse Lubomirska, s'écria la veuve, celle qui, lorsqu'elle n'était pas contente de ses amants, les faisait noyer comme de jeunes chiens. Ou de Bogdan Hmelnisky , le voleur de champs! s'écria Gabris.
Tous ceux qui m'entouraient, de plus, savent que M. Lebrun s'emparait en totalité de l'argent que je gagnais, me disant qu'il le ferait valoir dans son commerce; je ne gardais souvent que six francs dans ma poche. Lorsque en 1788 je fis le portrait du beau prince Lubomirski, alors adolescent , sa tante, la princesse Lubomirska, m'envoya douze mille francs, sur lesquels je priai M. Lebrun de me laisser deux louis; mais il me refusa, prétendant avoir besoin de la somme entière pour solder tout de suite un billet. Il était plus habituel au reste, que M. Lebrun touchât lui-même, et très-souvent il négligeait de me dire que l'on m'avait payée. Une seule fois dans ma vie, au mois de septembre 1789, j'ai reçu le prix d'un portrait; c'était celui du Bailly de Crussol, qui m'envoya cent louis. Heureusement mon mari était absent, en sorte que je pus garder cette somme, qui, peu de jours après (le 5 octobre), me servit pour aller
Une société fort agréable, était celle des Polonaises; presque toutes sont aimables et jolies, et j'ai peint quelques-unes des plus belles. On les trouvait réunies le plus souvent chez la princesse Lubomirska, que j'avais connue
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