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Mis à jour: 23 juin 2025
Arthur accourait. Mimie derrière sa mère, regardait par l'entrebâillement de la porte. Jean Labarou était invisible.
Enfin, pour achever de brosser cette esquisse en deux tours de main, bien qu'elle fût, en réalité, une jolie fille, Euphémie Labarou manquait complètement de séduction féminine, d'attirance, comme disent les bonnes gens. D'ailleurs, la suite de ce récit vous montrera qu'elle était fort tyrannique en amour.
Le lendemain dans la matinée, deux solides gars, montant une petite chaloupe, abordaient en face de l'habitation Labarou. Gaspard se trouvait l
Des heures entières, sans doute, puisque, éveillé soudain par des cris d'appel, Arthur Labarou constata, en ouvrant les yeux, que le jour naissait. Mais d'où venaient les cris?... D'un navire
Ce hangar, assez vaste, était divisé en deux compartiments; l'un où se faisait la salaison, l'autre servant d'atelier de tonnellerie. Une petite forge, munie de sa large cheminée, y était attenante. C'est dans cette dernière partie de l'édifice que se tenait le plus souvent Wapwi, en qualité de souffleur du père Labarou, le maître-forgeron.
La belle enfant s'arrêta rougissante en apercevant les deux étrangers, puis instinctivement se rapprocha de sa mère. Le présentations se firent alors, sans plus de cérémonie que chez les Labarou, c'est-
Il s'était dit avec raison que le diable lui-même n'oserait pas l'aller chercher au fond de ces fiords bizarrement découpés qui dentellent le littoral du Labrador. Le fait est que les hasards de sa fuite précipitée avaient merveilleusement servi Labarou.
Bref, quinze jours après leur abordage, les Labarou se retrouvaient chez eux et reprenaient leur train de vie ordinaire. Cela devait durer douze années entières, pendant lesquelles un incident digne d'être rapporté vint rompre la monotonie de cette existence patriarcale.
Mimie Labarou, ma cousine ou plutôt ma soeur!..... Mimie, ah! Quoi!.... Qu'y a-t-il de si drôle dans ce nom-l
Tremblant, hagard, la sueur de l'agonie aux tempes, Gaspard Labarou quitta la maison où s'était écoulée son adolescence, chancelant comme un homme ivre et sentant peser sur ses épaules le poids terrible de la malédiction paternelle.... Dans l'esprit de Jean Labarou, cette malédiction n'était que conditionnelle, il est vrai.
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