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Chez la femme aussi il se produit un mouvement réflexe quand elle se trouve au maximum de l'agitation sexuelle et voluptueuse. Il commence par l'excitation des nerfs sensibles des parties génitales et consiste en un mouvement péristaltique dans les trompes et l'utérus jusqu'

Le Docteur Jules Guyot, bréviaire de l'amour Expérimental, s'exprime ainsi sur le sujet, dans sa 3e méditation. «Tant que le spasme n'est pas déterminé dans les deux parties, la fonction n'est pas accomplie; l'homme n'a pas émis le fluide vivant, la femme n'a pas projeté de ses limbes, dans l'utérus, des ovules avec toute l'énergie nécessaire

Un autre moyen qui, celui-ci, agit directement sur l'utérus, consiste

Une forte congestion utérine est la conséquence d'un tel traitement, une hémorrhagie se fait entre l'utérus et l'oeuf, puis le décollement de ce dernier et son expulsion. Des cas de mort sont assez souvent la conséquence de ces manoeuvres. Elle survient soit par suite d'infection septique, soit par empoisonnement.

L'autopsie a fait constater dans les organes végétatifs: dégénérescence amyloïde des reins, fibrome de l'utérus, kyste de l'ovaire gauche. L'os frontal semblait très épaissi, inégal

L'influence de la grossesse est non moins évidente. Nous avons dit qu'elle était quelquefois salutaire, parce que l'utérus développé remplaçait la sangle abdominale défectueuse; mais, une fois l'utérus revenu

Dans le cas le placenta reste dans l'utérus, me dit la matrone, «il survient de l'odeur, le ventre de la femme enfle et elle meurt». C'est la péritonite puerpérale. «D'autre fois le ventre ne gonfle pas, il survient de la fièvre, il y a de l'odeur et la femme meurt plus ou moins longtemps après l'accouchement». C'est l'infection puerpérale.

Dans la catégorie de ces monstres psycho-sexuels rentre sans doute l'éventreur de Whitechapel que la police cherche toujours sans pouvoir le découvrir. L'absence régulière de l'utérus, des ovaires et de la vulve chez les dix victimes de ce Barbe-bleue moderne, fait supposer qu'il cherche et trouve encore une satisfaction plus vive dans l'anthropophagie.

Il y a, chez la femme ainsi que chez l'homme, d'autres régions et organes érectibles qui peuvent produire l'érection, l'orgasme et même l'éjaculation. Ces «zones érogènes» sont chez la femme, tant qu'elle est virgo, le clitoris, et, après la défloration, le vagin et le col de l'utérus.

Un de mes amis de jeunesse se sent, depuis son enfance, comme fille; mais il a de l'affection pour le sexe masculin; chez sa soeur, c'était le contraire; mais lorsque l'utérus réclama ses droits quand même et qu'elle se vit femme aimante malgré son caractère viril, elle trancha la difficulté en se suicidant.