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Mis à jour: 4 mai 2025


Au fond on n'a pas assez remarqué, qu'avant l'impressionnisme, la peinture du dix-huitième siècle a été une réaction contre le bitume, réaction amenée par les milieux clairs, dans lesquels vivait cette société.

Après cette publication, Zola débuta dans la presse quotidienne par quelques articles qu'accepta le Petit Journal, et aussi par des articles de critique littéraire et de critique d'art, qui furent, par la suite, réunis en volume, sous ce titre: Mes Haines qu'ils ne justifiaient guère. Le livre était plus tapageur que réellement haineux. Il attira l'attention du public spécial; il irrita nombre de peintres et de sculpteurs, notamment par l'éloge de Manet, ce grand artiste était alors nié et bafoué, et par l'apologie de l'école réaliste ou impressionniste. Le terme n'était pas encore usité, ni même inventé, mais l'impressionnisme existait, avec l'auteur d'Argenteuil et du Bord de l'eau, avec Pissarro, Sisley, Renoir, Berthe Morisot, Degas, Caillebotte, débutants et conspués, et avec Cézanne, qui devait, toute sa vie, demeurer aussi impressionniste et aussi ignoré qu'aux heures de noviciat. L'amitié louangeuse de Zola n'est pas parvenue

Samedi 7 novembre. Avant les tentatives de l'impressionnisme, toutes les écoles de peinture de l'Europe sont noires, sauf la peinture française au XVIIIe siècle, et je suis persuadé que cette peinture doit sa couleur

C'est vrai. Il ne faut pas craindre de voir les hommes se disputer. Au Salon d'automne (j'y repense!) un étrange spectacle s'offre aux visiteurs: on y regarde voisiner cette année, le plus simplement du monde, l'impressionnisme le plus éperdu et «monsieur Ingres». Si M. Ingres revenait au monde, il pourrait dire comme certain doge de Venise

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cuthbert

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