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Mis à jour: 22 juin 2025


Mourief rebroussa chemin et vint se ranger auprès de son ami. Ma chère Sophie, dit le comte, tu es la plus sage des femmes: tu seras peut-être bien aise de faire la connaissance du plus fou de nos jeunes braves... Le lieutenant Pierre Mourief, mon ami; la princesse Koutsky, ma soeur. Pierre s'inclina profondément. La princesse regarda un instant son frère et le néophyte.

Le comte Platon Sourof avait une soeur, la princesse Sophie Koutsky, aussi raisonnable, aussi sensée que lui-même. De toute sa vie, elle n'avait fait qu'une folie, commis qu'une imprudence, celle d'épouser

Sophie s'était contentée de sourire et de baiser respectueusement la main de son auguste marraine. Huit jours après le prince Koutsky un rayon de bonheur sur son visage émacié par les fièvres, conduisait

Sophie Koutsky soigna en effet son mari jusqu'au dernier moment, le mit des ses mains dans le cercueil, prit le deuil de veuve et continua

Le prince Koutsky n'avait pas laissé grand'chose

Si Koutsky était riche, passe encore, disait un gros général d'artillerie aussi intelligent que ses boulets de canon. Mais il n'a pas le sou! Que peut-elle aimer dans ce fiévreux? Le sacrifice! lui jeta bien en face une belle enthousiaste de vingt ans. Le général s'inclina d'un air aimable et balbutia un compliment; mais il n'avait pas compris, et il n'était pas le seul.

Ce qu'elle avait recherché dans le mariage était, en effet cette soif du martyre qui tourmente les grandes âmes. Elle avait aimé Koutsky parce qu'il était malade et condamné

Mot du Jour

insubmersible

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