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Mis à jour: 4 mai 2025
«Le fils de Hali eut nom Brahmadatta: ce fut un saint monarque d'une splendeur égale au rayonnement du roi même des Immortels: il habitait alors, Kakoutsthide, une ville appelée Kâmpilyâ. Quand la renommée de son éminente beauté fut parvenue aux oreilles de Kouçanâbha, ce prince équitable conçut la pensée de marier ses filles avec lui, et fit proposer l'hymen au roi Brahmadatta.
«Elles redevinrent ce qu'elles étaient naguère, douées entièrement de majesté, de grâces et de beauté. Quand le roi Kouçanâbha vit ses filles délivrées du ridicule fardeau que leur avait imposé la colère du Vent, il en fut ravi au plus haut point de l'admiration, il s'en réjouit, il en fut enivré de plaisir.
«L'offre acceptée, Kouçanâbha, dans toute la joie de son âme, donna les cent jeunes filles
«Les noces célébrées et son royal hôte parti, Kouçanâbha, qui n'avait pas de postérité mâle, célébra un sacrifice solennel pour obtenir un fils. Tandis que les prêtres vaquaient
De ces héros, semblables aux gardiens célestes du monde, Kouçâçwa construisit la ville charmante de Kâauçâçwi; Kouçanâbha, qu'on eût dit la justice en personne, fut l'auteur de Mahaudaya; le vaillant Amoûrtaradjasa créa la ville de Prâgdjyautisha, et Vasou éleva Girivradja dans le voisinage de Dharmâranya.
«Jadis la terre eut un maître nommé Kouça: il était fils de Brahma, l'antique aïeul des créatures, et ce fut lui qui donna le jour au puissant et vertueux Kouçanâbha. Celui-ci eut un fils appelé Gâdhi, prince
«De son côté, l'invincible et saint roi Kouçanâbha rendit la nymphe Ghritâtchyâ mère de cent filles jumelles,
«Aussitôt que Kouça eut adressé, noble Râma, ces paroles au roi Kouçanâbha, il disparut soudain, et rentra dans l'air, comme il en était sorti. Après quelque temps écoulé, ce fils du sage Kouçanâbha vint au monde: il fut appelé Gâdhi; il acquit une haute renommée, il signala sa force égale
«Après que ses filles eurent achevé ce discours, le dominateur des hommes, Kouçanâbha fit cette réponse, noble Râma, aux cent princesses: «Mes filles, je vois avec une grande satisfaction que ces violences du Vent, vous les avez souffertes avec une sainte résignation, et que vous avez en même temps sauvegardé l'honneur de ma race. En effet, la patience, mes filles, est le principal ornement des femmes; et nous devons supporter, c'est mon sentiment, tout ce qui vient des Dieux. Votre soumission
«À ces mots du sage Kouçanâbha, les cent jeunes filles répondirent, baissant leur tête
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