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Mis à jour: 8 juillet 2025
J'imaginai que la conduite mystérieuse de ce dernier devait avoir pour but de déjouer ou de pénétrer les méchants desseins de M. Lugarto. Sous ce rapport, la disparition de l'émissaire de M. de Mortagne éveillait mes craintes. Au milieu de ces inquiétudes, on annonça M. de Rochegune.
J'imaginai d'aimer mon mari; c'était m'y prendre un peu tard. L'estime froide que j'avais professée pour lui jusque-l
Winter était un de ces Lovelaces de carcan, qui ne trompent jamais une femme sans la voler. J'imaginai que parmi ses victimes, il s'en trouverait au moins une qui, par esprit de vengeance, serait disposée
"J'y revolai le lendemain. Passionné pour la musique, je lui attribuai uniquement cet attrait irrésistible qui m'entraînait malgré moi. J'avoue cependant que je désirais avec ardeur de voir celle dont les talents me ravissaient, et que je crus aussi être conduit par la curiosité. J'imaginai de vous attirer
Il me demanda alors quels étaient les causes et les motifs les plus ordinaires de nos querelles et de ce que j'appelais la guerre. Je répondis que ces causes étaient innombrables et que je lui en dirais seulement les principales. «Souvent, lui dis-je, c'est l'ambition de certains princes qui ne croient jamais posséder assez de terre ni gouverner assez de peuples. Quelquefois, c'est la politique des ministres, qui veulent donner de l'occupation aux sujets mécontents. Ç'a été quelquefois le partage des esprits dans le choix des opinions. L'un croit que siffler est une bonne action, l'autre que c'est un crime; l'un dit qu'il faut porter des habits blancs, l'autre qu'il faut s'habiller de noir, de rouge, de gris; l'un dit qu'il faut porter un petit chapeau retroussé, l'autre dit qu'il en faut porter un grand dont les bords tombent sur les oreilles, etc.» J'imaginai exprès ces exemples chimériques, ne voulant pas lui expliquer les causes véritables de nos dissensions par rapport
M. de Talleyrand, au moment de ma tentative et de ma mésaventure tragique, était fort malade; mon amour-propre tremblait de le revoir depuis que j'étais détrônée, et cette conversation si piquante, cette flatteuse intimité avec un homme si distingué, je craignais en quelque sorte d'en jouir, malgré le désir que j'en éprouvais. Pour me donner le courage de cette entrevue si redoutée, j'imaginai de la faire précéder de mon portrait, modelé par Lemot, dans l'attitude de la Cléopâtre. Je le portai moi-même au ministère dans une chambre voisine du jardin, et laissai ce billet
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