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II, part xiii, c. vii; Hugon. S. Vict. Op., t. III, p. 608. Hist. litt., t.

A onze heures, lorsque le second coup de cloche pour le déjeuner eut réuni tout le monde, madame Hugon, avec son bon sourire maternel, posa deux gros baisers sur les joues de Sabine, en disant:

Justement, le lendemain, il y avait un dîner chez Nana; d'ailleurs, le dîner habituel du jeudi, Muffat, Vandeuvres, les fils Hugon et Satin. Le comte arriva de bonne heure. Il avait besoin de quatre-vingt mille francs pour débarrasser la jeune femme de deux ou trois créances et lui donner une parure de saphirs dont elle mourait d'envie. Comme il venait déj

Le vendredi, au déjeuner, il avait fallu mettre un nouveau couvert. M. Théophile Venot, que madame Hugon se souvint d'avoir invité l'hiver dernier, chez les Muffat, venait d'arriver. Il arrondissait le dos, il affectait une bonhomie d'homme insignifiant, sans paraître s'apercevoir de la déférence inquiète qu'on lui témoignait. Quand il eut réussi

Le comte Muffat, accompagné de sa femme et de sa fille, était arrivé de la veille aux Fondettes, madame Hugon, qui s'y trouvait seule avec son fils Georges, les avait invités

D'habitude, après le déjeuner, on se rendait au bout du parterre, sur une terrasse qui dominait la plaine. Le dimanche, l'après-midi fut d'une douceur exquise. On avait craint de la pluie, vers dix heures; mais le ciel, sans se découvrir, s'était comme fondu en un brouillard laiteux, en une poussière lumineuse, toute blonde de soleil. Alors, madame Hugon proposa de descendre par la petite porte de la terrasse, et de faire une promenade

Alors, ils ricanèrent, les yeux luisants, se donnant des détails sur la table d'hôte de la rue des Martyrs, la grosse Laure Piédefer, pour trois francs, faisait manger les petites femmes dans l'embarras. Un joli trou! Toutes les petites femmes baisaient Laure sur la bouche. Et, comme la comtesse Sabine tournait la tête, ayant saisi un mot au passage, ils se reculèrent, se frottant l'un contre l'autre, égayés, allumés. Près d'eux, ils n'avaient pas remarqué Georges Hugon, qui les écoutait, en rougissant si fort, qu'un flot rose allait de ses oreilles

Cette opinion fit sourire M. Venot. D'ailleurs, il ne s'expliqua pas sur la jeune mariée. Fermant les paupières, comme pour se désintéresser, il se perdit de nouveau derrière les jupes, dans son coin. Madame Hugon, au milieu de sa lassitude distraite, avait saisi quelques mots. Elle intervint, elle conclut de son air de tolérance, en s'adressant au marquis de Chouard, qui la saluait:

Les fils Hugon passaient, Philippe le fit taire. Alors, entre hommes, on causa du mariage. Georges se fâcha contre la Faloise, qui racontait l'histoire. Nana avait bien collé

Nana, en se retournant, put voir les promeneurs hésiter, puis revenir sur leurs pas, sans traverser le pont. Madame Hugon s'appuyait au bras du comte Muffat, muette, et si triste, que personne n'osait la consoler.