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Mis à jour: 2 juin 2025
Après un monologue de Don Gomez, dans lequel on rencontre de beaux accents de déclamation, paraît Anne de Boleyn, accompagnée de dames de la cour qui lui offrent des fleurs, page remplie de charme et de distinction. Vient ensuite une scène rapide entre Anne et Don Gomez; puis le grand duo entre Anne et le roi. Ce duo est un morceau capital. On y sent circuler partout une sensualité impatiente, noyée dans une instrumentation pleine de caresses félines. Le dernier ensemble de ce duo est exquis et d'un charme de sonorité incomparable. L'air qui suit: «Reine! je serai reine!» est d'un beau caractère d'orgueilleux enivrement. Dans le duo entre Anne de Boleyn et Catherine d'Aragon, l'on remarque les accents tour
Madame, répondit Germaine, si vous aimiez le petit Gomez, vous ne songeriez pas
Le seigneur Gomez, notre ex-propriétaire de Son-Vent, ce riche personnage qui nous avait loué sa maison en cachette, parce qu'il n'était pas convenable qu'un citoyen de Majorque eût l'air de spéculer sur sa propriété, nous avait fait un esclandre et menacés d'un procès pour avoir brisé chez lui (estropeado) quelques assiettes de terre de pipe qu'il nous fit payer comme des porcelaines de Chine. En outre, il nous fit payer (toujours par menace) le badigeonnage et le repicage de toute sa maison,
On ne manqua pas d'attribuer le manque de solidité du gouvernail de cette caravelle au ressentiment de Gomez Rascon et de Christophe Quintero, qui en étaient les propriétaires, afin qu'elle ne pût pas tenir la mer et qu'elle revînt
La scène suivante, entre Anne et Don Gomez, contient un charmant cantabile chanté avec beaucoup d'expression par M. Dereims. Un dialogue entre le roi et Don Gomez termine le premier tableau.
Toute la famille était réunie autour du petit Gomez qui lutinait une tortue familière. M. de La Tour d'Embleuse manquait seul au rendez-vous matinal. Ses fenêtres étaient encore fermées, et l'on respectait son sommeil. Mathieu Mantoux, qui redoublait de zèle depuis que le docteur l'avait maintenu en place, lavait activement son linge au bord d'un petit ruisseau qui courait
Dès ce moment le fils et la mère furent deux amis. Le petit Gomez ne voulut plus sortir de la chambre, et il assista d'autorité
Vers la fin du même siècle, la fille du célèbre Poisson, (madame de Gomez) dans un genre bien différent que les écrivains de son sexe qui l'avaient précédée, écrivit des ouvrages qui, pour cela n'en étaient pas moins agréables, et ses Journées amusantes, ainsi que ses Cent Nouvelles nouvelles feront toujours, malgré bien des défauts, le fond de la bibliothèque de tous les amateurs de ce genre. Gomez entendait son art, on ne saurait lui refuser ce juste éloge. Mademoiselle de Lussan, mesdames de Tencin, de Graffigni, Elie de Beaumont et Riccoboni la rivalisèrent; leurs écrits pleins de délicatesse et de goût, honorent assurément leur sexe. Les lettres Péruviennes de Graffigni seront toujours un modèle de tendresse et de sentiment, comme celles de myladi Castesbi par Riccoboni, pourront éternellement servir
Un jour (c'était vers le milieu du mois de juin), elle était étendue au jardin sur des tapis de Smyrne. Mme de Villanera, assise auprès d'elle, égrenait machinalement un gros chapelet de corail, et le petit Gomez ramassait des oranges avortées pour en bourrer ses poches. Le comte passa
Ce prélude s'enchaîne, sans interruption, avec le drame. Dès la première scène, entre Norfolk et Don Gomez, l'ambassadeur d'Espagne
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