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Mis à jour: 28 juillet 2025
Et cette peinture qui ne sent pas l'amitié se termine par ces deux vers: y a quelques exceptions, homme ou femme, Mais ceci est la vie de la Gentry, en général .
Tels étaient les plaisirs grossiers du peuple. Ils lui suffisaient. Le peuple n'avait pas le moyen d'aller aux «nobles matches» de la gentry, et ne pouvait, comme les seigneurs et gentilshommes, parier mille guinées pour Helmsgail contre Phelem-ghe-madone. L'homme a une pensée, se venger du plaisir qu'on lui fait. De l
Or, la gentry réunie ce soir-l
Quelquefois, le roi et la reine de Malécarlie passent au milieu de cette gentry fringante. Le couple royal, déchu de sa souveraineté, inspire une réelle sympathie
Et puis, voir comment vous êtes négligés, Comment malmenés, bousculés, outragés! Ciel, homme, notre gentry se soucie aussi peu Des bêcheurs, terrassiers et autre bétail, Ils passent aussi fiers près des pauvres gens Que moi auprès d'un blaireau pourri.
Du reste, aucune méchanceté. Elle était plutôt bonne. Josiane s'ennuyait, cela va sans dire. Lord David Dirry-Moir avait une situalion magistrale dans la vie joyeuse de Londres. Nobility et gentry le vénéraient.
Lady Josiane fit seulement la concession de se vêtir en cavalier, chose fort usitée alors. Les femmes ne voyageaient guère autrement. Sur six personnes que contenait le coach de Windsor, il était rare qu'il n'y eût point une ou deux femmes habillées en hommes. C'était signe de gentry. Lord David, étant en compagnie d'une femme, ne pouvait figurer dans le match, et devait rester simple assistant.
Probablement, dans l'âme sordide de ce manant, s'éleva un cri de la conscience, lorsqu'il se demanda quelles seraient les appréciations de la Gentry civilisée, si cette jeune fille lui apparaissait malheureuse, déclassée, courbée sous la froide étreinte de la misère et de l'abandon.
Partout où il en trouve l'occasion, il place quelques mots contre les nobles, quelque terme méprisant qui les rend odieux et ridicules. Dans Les Deux Ponts d'Ayr, il représente: Une gentry stupide,
On s'explique donc l'empressement de la gentry pour cette réunion trimestrielle et l'on devine l'extrême curiosité qui s'agite derrière les lorgnettes braquées par la foule des robes de dentelles et des habits noirs.
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