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Mis à jour: 13 juin 2025
Gelinski, nullement satisfait de l'apparition de ce Russe, ne lui fit aucun accueil. De son côté, Boris faisait mine de ne point s'apercevoir de la gêne qu'il avait ainsi introduite dans leur cercle, et s'efforçait de ranimer la conversation. Un des hôtes s'adressant, avec une politesse toute française,
Boris, qui, avec son ami Gelinski, était venu pour admirer le banquet, aperçut Rostow appuyé au coin d'une maison: «Nicolas! bonjour; qu'es-tu donc devenu?... nous ne nous sommes pas vus. Qu'as-tu donc? ajouta-t-il, en remarquant son air farouche et défait. Rien, rien. Tu viendras tantôt? Oui, j'irai.»
Il logeait avec un autre aide de camp, le comte Gelinski, un Polonais élevé
Le 24 juin, le comte Gelinski organisa un souper: un aide de camp de Napoléon y occupait la place d'honneur, et parmi les autres invités on voyait quelques officiers français de la garde, et un tout jeune homme, d'une grande et ancienne famille, qui était page de Napoléon. Ce même jour, Rostow, profitant de l'obscurité pour ne pas être reconnu en habit civil, se rendit tout droit chez Boris.
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