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Fânen était un homme de soixante ans, propriétaire des grandes prairies qui longent le Losser, un homme riche et pourtant simple dans ses moeurs; gros, court, revêtu d'une souquenille de toile, coiffé d'un large chapeau de crin, ayant la barbe longue de huit jours toute grisonnante, et ses joues rondes et jaunes sillonnées de grosses rides circulaires.

Cela fait, entendu, arrêté, le père Fânen le reconduisit jusque hors la cour; ils se serrèrent la main, et Fritz, satisfait, se remit en route vers la ville.

Monsieur Fânen, répondit Fritz en souriant, j'ai résolu de faire une partie de plaisir

Les garçons d'écurie étrillaient et bouchonnaient: un postillon, en petite veste bleue brodée d'argent, son chapeau de toile cirée sur la nuque, conduisait un cheval vers la porte; il allait sans doute partir en estafette. Le père Fânen et Fritz passèrent lentement derrière les chevaux. «Il vous en faut deux, dit le maître de poste, choisissez

C'est ainsi que le trouva Fritz, en train de faire étriller des chevaux dans la cour de la poste. Fânen, le reconnaissant de loin, vint

Kobus, après avoir passé son inspection, choisit deux vigoureux roussins gris pommelés, qui devaient aller comme le vent. Puis il entra dans le bureau avec M. Fânen, et tirant de sa poche une longue bourse de soie verte