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Nulle part on ne conte mieux ces récits chimériques qui flottent dans l'imagination transparente comme les fumées du narghilé dans un ciel serein. Tous les conteurs, ces poëtes populaires de la tente, sont Arabes ou Persans, et tous nos contes viennent de Bagdad. La Grèce a la supériorité dans l'art, cette logique de la pensée, de l'imagination et du sentiment.

La joie de la victoire chassait de son coeur les derniers remords, les dernières pitiés, les dernières fumées de regrets.

Oh! fit lord Glenarvan, le major est absorbé dans les fumées de son cigare; il ne faut pas l

Les soldats citoyens sur pied depuis cinq heures du matin mouroient de faim. On leur jetoit par les fenêtres des pains qu'ils recevoient sur leurs sabres et sur leurs bayonnettes: on y joignoit des viandes froides ou fumées; on leur descendoit du vin, de l'eau-de-vie, des liqueurs, de l'eau dans des bouteilles attachées

Sept heures trente-cinq, quelques fumées se déroulent au-dessus des navires, qui vont appareiller, et venir

Il vit le soleil se lever sur l'immense plaine, dorer les jaunes découvertes, démasquer la vieille cité parmi les brumes et les fumées. Il regarda Julie. Le sommeil profond elle avait peu

La langue la plus commune chez ces peuples grand'huniers, ainsi que les avaient nommés les mousses envoyés pour parer la flamme, était la langue de boeuf. On en voyait de fumées suspendues

Dès lors le feu s'échevela davantage et tendit contre le ciel un immense rideau lumineux, qui ronflait en s'étalant. Les fumées furent rabattues vers la prairie. Les dragons toussèrent. Il volait des flammèches. Les chevaux s'épouvantaient.

Le palais impérial d'autrefois, inhabité depuis le nouveau règne, se dresse sinistre, sous le revêtement noir que lui ont fait les pluies et les fumées. Sa haute porte, au blason d'or terni, est masquée

Tous deux prirent la rue de la Folie-Regnault, gagnèrent la ligne des boulevards extérieurs par la rue du Chemin-Vert. A cette heure, dans le clair soleil levant, tout le travail du quartier était enfin debout, les longues rues que bordaient les constructions basses des ateliers et des usines, s'animaient du ronflement des générateurs, tandis que les fumées des hautes cheminées, dorées par les premiers rayons, devenaient roses. Mais ce fut surtout lorsqu'ils débouchèrent sur le boulevard Ménilmontant, qu'ils eurent la sensation de la grande descente des ouvriers dans Paris. Ils le suivirent de leur pas de promenade, ils continuèrent par le boulevard de Belleville. Et, de toutes parts, de toutes les misérables rues des faubourgs, le flot ruisselait, un exode sans fin des travailleurs, levés