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Engagé dans un bataillon de francs-tireurs, il faisait le coup de fusil aux avant-postes. Et quant

Pour exterminer les civils sur terre, les armées se couvrent au moins d'un prétexte, se prétendent attaquées par des francs-tireurs. Pour tuer les civils sur mer, aucun expédient de ce genre n'est imaginé: c'est la criminalité sans phrases! Autrefois, tout pirate pris était pendu

Des légions de francs-tireurs aux appellations héroïques: «les Vengeurs de la Défaite les Citoyens de la Tombe les Partageurs de la Mort» passaient

Mais ce que vous ne saviez peut-être pas, c'est que cette guerre de francs-tireurs avait été prévue et préparée par le Gouvernement, ainsi que d'ailleurs aussi la Commission d'enquête sur la violation du droit des gens, et la campagne de «calomnies» contre l'armée allemande. Peut-être même, mais M. Grasshoff n'en est pas très sûr, les conventions anglo-belges prévoyaient-elles déj

Le temps favorisa la cérémonie. Par toutes les portes de la ville, la foule se dirigea vers le terrain en ses plus beaux atours. Depuis les plus vieux barbons de la garde nationale jusqu'aux tout jeunes pupilles de la République, sans parler des francs-tireurs eux-mêmes, toute la population masculine était en armes, et notre régiment avait été convié

La plupart des francs-tireurs sont des hommes de pied; leur première ambition est d'obtenir soit une mule pour les porter durant les marches, soit un cheval au moyen duquel ils se mêlent avec moins de danger aux combats de cavalerie. Ils sont ordinairement indociles, grossiers, gourmands et portés

Cette armée est suivie d'une foule de volontaires chrétiens, de comitadjis, de francs-tireurs, revêtus des costumes les plus fantaisistes. Ce sont ses plus précieux auxiliaires; après lui avoir servi de guides, ils vont lui servir de délateurs.

On lui fait une ovation. Mais les groupes se disloquent, les habitants s'écartent. Le tambour vient de battre et les soldats, rapidement, se rangent sur la place. Ils vont faire une battue dans le bois, dit un paysan. Gare aux francs-tireurs, s'ils en trouvent. Ma foi, ça sera pain bénit, dit un autre, si ces brigands de Parisiens se font arranger comme il faut. Des canailles comme ça!

Jean, lorsqu'il sut l'histoire, s'inquiéta pourtant. Si les autorités allemandes se doutaient que les habitants de Remilly accueillaient les francs-tireurs des bois de Dieulet, elles pouvaient d'une heure

Mais une nouvelle attente se fit, un état-major montait par l'étroit sentier du mamelon. C'était le général Douay, le visage anxieux, accourant. Et, lorsqu'il eut en personne interrogé les francs-tireurs, un cri de désespoir lui échappa. Même averti le matin, qu'aurait-il pu faire? La volonté du maréchal était formelle, il fallait traverser la Meuse avant le soir,