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Mis à jour: 4 mai 2025
Frédéric-Guillaume s'était prêté
Frédéric-Guillaume se laissait prendre
L'armée coalisée perdait deux ou trois cents hommes par jour de la dysenterie. Cependant Sa Majesté Frédéric-Guillaume tint bon pendant douze jours. Mais nul n'était, dans toute cette armée composée d'éléments divers, plus troublé que le roi de Prusse lui-même. Il y avait schisme dans son camp, guerre civile dans sa tente, combat dans son cœur.
Attendant toujours la réponse de l'Autriche, ne la voyant point venir, il se tourna d'abord vers la Prusse. Six jours après la bataille, il détachait l'un de ses aides de camp, le général Bertrand, auprès de Frédéric-Guillaume, et offrait de nouveau
Un seul scrupule retenait le Tsar et contrariait ses épanchements. Au sortir de l'entrevue, il allait retrouver, au pauvre village de Pictupœhnen, Frédéric-Guillaume et les Prussiens, qui demeuraient nominalement ses alliés. Avec eux, la signature de l'armistice restait en suspens: Napoléon y mettait des conditions rigoureuses; il exigeait que les dernières places conservées par les troupes de Frédéric-Guillaume en Silésie et en Poméranie lui fussent remises avec leurs garnisons: il voulait que l'armistice fût encore une capitulation, succédant
Ce ressentiment du prince, qu'il devait payer de sa vie, durait encore lorsque la campagne de Prusse s'ouvrit, en 1806. Frédéric-Guillaume, dans son manifeste du 9 octobre, dit: «Les Allemands n'ont pas vengé la mort du duc d'Enghien; mais jamais le souvenir de ce forfait ne s'effacera parmi eux.»
Une autre publication de M. de Ségur, qui date de la même année , est sa Décade historique, ou son tableau des dix années que comprend le règne du roi de Prusse Frédéric-Guillaume II (1786-1797). Sous ce titre un peu indécis, l'auteur n'avait sans doute cherché qu'un cadre pour retracer l'histoire des préliminaires de notre Révolution, ses diverses phases au dedans et ses contre-coups au dehors jusqu'
Le prince de Prusse, depuis Frédéric-Guillaume II, s'adresse ainsi
Frédéric-Guillaume, duc de Brunswick-OEls, né en 1771, avait succédé
Tandis que le commissaire français commençait sa tournée, Frédéric-Guillaume errait entre Charlottenbourg et Potsdam, tournant autour de sa capitale ou piétinant sur place, dévorant ses humiliations, abreuvé de dégoûts et rongé d'impatience. Hardenberg écrivait
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