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Mis à jour: 3 juin 2025
Oh! sans doute le temps a fané tes couleurs: Mais tu gardes encor sous ta mélancolie Ce parfum d'élégance et d'amitié polie Qu'on cueille sur ta bouche et qu'on emporte ailleurs. Pour tous les souvenirs tu tiens une merveille. Ton enceinte riante est comme une corbeille, Les festons sur le bord, les perles au milieu.
À la pause, entre deux reprises, tandis que les couples se promènent et acquittent, dans la main du «tenancier», leur redevance pour ces toupillements, l'arrosoir d'un garçon de salle abat la poussière en dessinant des festons humides sur le plancher. Puis les clarinettes repartent, les danseurs appellent du pied, et souliers et sabots se remettent
Cette peinture, d'un goût fantasque et capricieux, offre un mélange des attributs et du culte des Divinités qui président aux bienfaits de la nature. On consacrait, aux Divinités champêtres, des autels et de petits temples, sous l'ombre d'un bois qui devenait sacré. Les jours de fête on suspendait aux branches des arbres, aux colonnes, aux autels, des bandes et des festons, ainsi que des instrumens religieux. La figure debout sur un stylobate, paraît être une statue; son ombre portée sur le mur du petit temple, indique qu'elle ne tient pas
Elle parvient enfin aux portes d'un monastère de Brahmanes, religieux ascétiques; monastère bâti au sein de ces forêts. Les ermites étonnés l'entourent et l'interrogent; elle leur raconte ses malheurs; ils lui prédisent le retour de sa félicité. À son réveil, le monastère et les ermites se sont évanouis comme une apparition ou comme un rêve. Damayanti reprend sa route; elle s'arrête au pied d'un arbre dont l'ombre donne la mort: «Ah!» dit-elle, «cet arbre est heureux au milieu de la forêt, c'est le souverain des bois environné des festons de lianes qu'il soutient et qui lui donnent la joie. Hâte-toi, ô bel arbre, de me délivrer de mes souffrances! Toi qui enlèves
Ah! les joyeuses gambades au fond des vallées, que bordent les coteaux où poussent drus, oliviers, grenadiers et cactus; les courses dans la plaine, le long des rubans de lauriers roses, gracieux festons de la rivière aux bords effrités et crayeux, les longues haltes sous les tamariniers touffus, près de la source fraîche où, dans une amphore étrusque, vient puiser la fille aux yeux noirs. Puis,
Des festons de verdure, croisée de branchettes de sapin et de mousses courantes étaient cloués aux baux de la caravelle avec des poignards piqués dans le bois des poutres. Ainsi relevés,
Des lieues de plage; un sable, doux sous les pieds, où la nier envoyait sa vague calme, en grands festons mobiles, dentelles blanches, dont les dessins d'écume se formaient, fondaient, apparaissaient encore pour disparaître. Aux endroits mouillés, le sable, dans le moment où s'y posait le pied de Zanette, devenait tout pâle, parce que l'eau, sous le poids, en sortait comme d'une éponge. Quand elle retirait ce pied, très petit, le sable de nouveau s'imbibait, redevenait sombre très vite. Et cela amusait la jeune fille.... Puis, comme la mer essayait de mouiller ses jupes, elle les relevait en s'enfuyant.... Et, loin des bords, le sable, sec, très mobile, prenait son soulier, voulait le garder, il la déchaussait. Et elle riait toute seule. Et la grande plage désolée était maintenant toute couverte des petites traces désordonnées de Zanette. Ici, elle avait fait de grandes enjambées, l
Dans l'hiver, la nature de ces montagnes est sublime de terreur et de force; quand les vents et les cataractes s'apaisent, la neige descend gracieuse et sans bruit; comme le duvet du Cygne, elle reste suspendue, en formes élégantes et bizarres, aux branches noires des sapins. Tout est silencieux dans ces régions, au milieu de colonnes, de festons et de guirlandes de cristal. On découvre par fois des chapelles, des oratoires, des croix élevées
Quand reverrai-je nos vieux chênes. Le lierre et ses riants festons Suspendus aux rameaux des frênes? Leur verdure est cent fois plus belle sur nos monts.
J'admirai également de nombreuses méduses, et les plus belles du genre, les chrysaores particulières aux mers des Malouines. Tantôt elles figuraient une ombrelle demi-sphérique très lisse, rayée de lignes d'un rouge brun et terminée par douze festons réguliers ; tantôt c'était une corbeille renversée d'où s'échappaient gracieusement de larges feuilles et de longues ramilles rouges. Elles nageaient en agitant leurs quatre bras foliacés et laissaient pendre
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