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[Note 152: Et. M. de Feletz, bon juge et vif interprète des traditions pures, a écrit: «La Bruyère qui possède si bien sa langue, qui la maîtrise, qui l'orne, qui l'enrichit, l'altère aussi quelquefois et en viole les règles.» (Jugements historiques et littéraires sur quelques

Les adversaires de l'Athénée lui reprochaient deux choses, le caractère superficiel de son enseignement et sa partialité contre le christianisme: griefs en partie fondés. Néanmoins le parti pris, l'insistance de Féletz lui font peu d'honneur. Autant on approuverait quelques articles l'esprit du cours de Ginguené ou du Lycée en général serait exposé et critiqué, autant cette réfutation ironique, composée au jour le jour, fatigue même le lecteur désintéressé ou acquis aux idées que le journaliste défend. Aussi éprouve-t-on du plaisir

C'est dans les Débats qu'il faut chercher les nombreux articles de Féletz, contre le cours de Ginguené

Outre les associations sur lesquelles porte cette notice, citons encore: Le Lycée de l'Yonne, dont il est parlé dans le Moniteur du 2 frimaire an X, et dont Féletz examine, au 6e volume de ses Mélanges, des Mémoires écrits dans l'esprit des philosophes du dix-huitième siècle; le Lycée de Caen, qui tint sa première séance le 15 germinal an IX (v. la Décade du 10 floréal an IX et du 10 floréal an X); le Lycée de Grenoble: Berriat Saint-Prix, un de ceux qui en soutenaient le mieux l'honneur, constatait, en 1802, qu'en cinq ans cette société avait reçu cent vingt mémoires ou pièces détachées ; le Lycée de Bourges; le Lycée de Toulouse, sur lequel on peut consulter,

[Note 11: Ange-François Fariau, dit de Saint-Ange (1747-1810), membre de l'Académie française. Sa traduction en vers des Métamorphoses d'Ovide lui avait valu une assez grande réputation. Si le poète Saint-Ange n'avait guère d'esprit, il avait encore moins de modestie. Le très spirituel abbé de Féletz le laissait entendre, d'une façon bien piquante, dans le feuilleton il rendait compte de la réception du poète