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Mis à jour: 12 juin 2025
La jeune fille devint charmante. Elle ne quitta point la fazenda.
Crois-moi, l'avenir, j'en ai le pressentiment, nous réunira tous!» Cette première journée se passa bien. Déjeuner, dîner, sieste, promenades, tout s'accomplit comme si Joam Garral et les siens eussent encore été dans la confortable fazenda d'Iquitos.
Au loin, derrière des buissons géants, sous des massifs de plantes arborescentes, se cachait tout l'ensemble des constructions où demeurait le personnel de la fazenda, les communs, les cases des noirs, les carbets des Indiens. De la rive du fleuve, bordée de roseaux et de végétaux aquatiques, on ne voyait donc que la maison forestière.
Ce serait, en vérité, comme une partie de la fazenda d'Iquitos qui se détacherait de la rive et descendrait l'Amazone, avec tout ce qui constitue une famille de fazenders, maîtres et serviteurs, dans leurs habitations, dans leurs carbets, dans leurs cases.
Minha avait alors vingt ans. C'était une charmante jeune fille, brune avec de grands yeux bleus, de ces yeux qui s'ouvrent sur l'âme. De taille moyenne, bien faite, une grâce vivante, elle rappelait le beau type de Yaquita. Un peu plus sérieuse que son frère, bonne, charitable, bienveillante, elle était aimée de tous. À ce sujet, on pouvait interroger sans crainte les plus infimes serviteurs de la fazenda. Par exemple, il n'eût pas fallu demander
Au dedans, d'abord, les meubles les plus jolis de la fazenda trouvèrent naturellement leur place. On en serait quitte pour les renvoyer, après l'arrivée au Para, par quelque igaritea de l'Amazone: Tables, fauteuils de bambous, canapés de cannes, étagères de bois sculpté, tout ce qui constitue le riant mobilier d'une habitation de la zone tropicale, fut disposé avec goût dans la maison flottante. On sentait bien qu'en dehors de la collaboration des deux jeunes gens, des mains de femmes présidaient
Le Portugais avait raison. Joam Garral le comprit, et il entra résolument au service de la fazenda, décidé
Le dessin de la famille Garral ne serait pas achevé, il lui manquerait quelques traits, s'il n'était parlé du nombreux personnel de la fazenda.
Ce fut dans cette journée du 15 octobre, quatre mois et demi après avoir quitté la fazenda d'Iquitos , que Bélem leur apparut
Il est en voie de prospérité? De très grande prospérité. Et depuis quand avez-vous quitté votre fazenda? Depuis neuf semaines environ. Pourquoi? À cela, monsieur, répondit Joam Dacosta, j'ai donné un prétexte, mais en réalité j'avais un motif. Quel a été le prétexte? Le soin de conduire au Para tout un train de bois flotté et une cargaison des divers produits de l'Amazone.
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