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Mis à jour: 5 mai 2025


A l'entendre, on lui offrait 60 000 francs, quatre mois de congé, un palais impérial et pour le moins un grand-duc. Cette extravagante ne tarissait pas sur cette matière; après avoir fini, elle recommençait. Par moments, elle me regardait du coin de l'oeil, je comprenais ce que cela voulait dire. Elle mourait d'envie que je l'interrompisse pour lui demander la fin de son histoire.

. . . . . . La princesse Gallyzin, née Wsevoloschky, était une des femmes que je voyais le plus souvent. J'allais par habitude plus que par goût la voir tous les matins, et souvent, pour ménager ses chevaux, je la ramenais chez elle. C'était une belle femme, très extravagante; un esprit tourné vers une originalité ridicule. Elle avait entièrement secoué le joug de l'opinion.

Puis, ce fut la princesse Rosemonde de Harth qui fit son entrée en coup de vent. Elle était aussi vendeuse au comptoir de la baronne, qui l'aimait pour sa turbulence, pour la gaieté imprévue qu'elle lui apportait. En toilette de satin feu, extravagante, avec sa tête bouclée, sa maigreur de gamin, elle riait, racontait un accident, qui avait failli couper en deux sa voiture. Et, comme le baron Duvillard et son fils Hyacinthe arrivaient de leurs chambres, toujours en retard, elle s'empara du jeune homme, le gronda, parce que, la veille, elle l'avait vainement attendu jusqu'

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