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Quelques personnes ont essayé de comparer la levée en masse des propriétaires de Londres et de quelques autres comtés, avec la levée en masse du peuple français de 1789. Les hommes que l'inquiétude du gouvernement britannique exporte journellement de son territoire, et les voyageurs impartiaux, ne trouvent guère de ressemblance que dans l'expression. Celui qui, en 1790, parcourait nos populeux départemens, rencontrait partout, non pas quelques corps et métiers ralliés sous des bannières de confrérie, mais les villes entières levées au signal de la patrie menacée, et faisant retentir les airs de chants civiques et d'hymnes

Notre cocher alimentait ses chevaux avec le caroube, les lupins, les fèves et le chiendent; les autres fourrages sont très-rares; on nourrit un cheval pour quatre carlins ou deux francs par jour tout compris. Le grain est si abondant, qu'il y a de quoi fournir l'Italie; on en exporte en quantité, ainsi que de l'huile et de la soie. Le beurre vaut trois francs la livre.

Le nombre des porcs atteignait 500,000 et était d'environ 50,000 en Tasmanie et 200,000 en Nouvelle-Zélande. On exporte beaucoup de suif, des peaux, de la viande congelée ou conservée en boîtes, de blé, de coton, de tabac, de sucre et de vin.