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A son retour en Prusse, il écrivit pour les fêtes de la cour un opéra-ballet, Nurmahal, dont le sujet est emprunté au poëme de Thomas Moore, Lalla-Rouk. C'est dans cette partition gracieuse qu'il plaça, en la développant et en y ajoutant un chœur, sa terrible bacchanale des Danaïdes. Il refit ensuite la fin du dernier acte de Cortez. Ce dénoûment nouveau, qu'on n'a pas daigné accueillir

Ceux qui connaissent l'Orphelin de la Chine remarqueront que l'histoire du jeune Alexis rappelle singulièrement l'histoire du jeune prince dans la tragédie de Voltaire. En effet, après avoir emprunté

Et nous ne les nommons pas tous. Pour nous servir d'une expression qu'on emprunte quelquefois

Dans une note, Mérimée s'explique: «C'est une croyance populaire de tous les pays que le crapaud est un animal venimeux. On voit dans l'histoire d'Angleterre qu'un roi fut empoisonné par un moine avec de l'ale dans laquelle il avait noyé un crapaud. Ce détail est emprunté

Dans l'un comme dans l'autre de ces deux éléments, les dispositions indigènes sont fréquemment influencées par des apports étrangers, mais le génie de la race n'en demeure pas moins personnel dans l'ensemble de ses productions. C'est ainsi que les Hellènes, bien qu'ayant emprunté

Si sérieux que l'on soit, il est difficile de ne pas sourire quelquefois en répondant aux objections que l'ancien régime littéraire emprunte

Ce qui précède est emprunté

Souvenir?... Qui sait! Fausta elle-même ignore pourquoi elle a emprunté ce détail de costume au chevalier. Car Fausta, c'est la vierge inviolable, n'ayant de femme que son sexe. Et pourtant Fausta éprouve un trouble qui l'accable. Pour la première fois, Fausta irrésolue comprend enfin qu'elle est encore trop femme pour devenir l'Ange qu'elle a rêvé d'être!...

Telle fut la première école de Mirabeau: c'est ainsi qu'il préluda, par des déclamations dont le sujet était emprunté

Et ainsi de suite pour tout Tarascon. Deux ou trois fois par semaine, on se réunit les uns chez les autres et on se les chante. Ce qu'il y a de singulier, c'est que ce sont toujours les mêmes, et que, depuis si longtemps qu'ils se les chantent, ces braves Tarasconnais n'ont jamais envie d'en changer. On se les lègue dans les familles, de père en fils, et personne n'y touche; c'est sacré. Jamais même on ne s'en emprunte. Jamais il ne viendrait