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Omer avisa les favoris blonds du tailleur Durtot: il empoignait au col de chemise un homme gras et bas sur jambes... N'était-ce pas un typographe de l'imprimerie Pied-de-Jacinthe?... Il lui ressemblait. On ne fait pas partie de la garde nationale, avec cette allure-l
A ces mots, qu'il prononça vivement, les ouvriers renouvelèrent leurs encouragements sympathiques. Pied-de-Jacinthe protesta qu'il le suivrait. Une huée jaillit des magasins entr'ouverts. Omer et le major se désolaient. Bien malin qui dira où nous mènerait la Révolution! insinua... le tailleur Durtot... Les affaires n'étaient pas déj
Dieudonné pria son cousin de l'accompagner, le lendemain, au Palais-Royal. On y souhaitait que des gardes nationaux connus acclamassent le prince et lui fissent cortège, si besoin était, afin que les manifestations des révolutionnaires fussent prévenues ou contrariées par de plus importantes. A l'Hôtel de Ville, Montalivet et M. Roulon, avec Durtot, Mauravert et les autres, essayeraient de contenir les énergumènes de Blanqui, de Trélat, les étudiants d'Enjolras... Aux demi-soldes, le prince restituait des grades et des commandements. Au capitaine Lyrisse, un brevet de major serait offert avec une feuille de route pour l'Algérie, et l'inscription au tableau d'avancement. Ses amis du café Lemblin seraient pourvus de même; tous les officiers de l'Empire recevraient des emplois dans les brigades d'Afrique. D'ailleurs les généraux Gérard, Sébastiani, Heymès et Rumigny consentaient
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