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M. Dovalle a eu ce bonheur, d'autant plus remarquable, d'autant plus étrange chez lui, qui devait finir d'une telle fin et interrompre sitôt sa chanson

Nous avions fondé, avec Vaillant je ne sais ce qu'il est devenu et Dovalle, qui a été tué en duel, un journal intitulé le Sylphe; on oublia ce titre pour l'appeler le Journal rose, attendu qu'il était imprimé sur papier rose; sa couleur lui avait valu de nombreux abonnements de femmes. À quoi tient le succès! La révolution de Juillet tua le Journal rose! Mira tua Dovalle.

Et d'abord, ce qui frappe en commençant cette lecture, ce qui frappe en la terminant, c'est que tout dans ce livre d'un poëte si fatalement prédestiné, tout est grâce, tendresse, fraîcheur, douceur harmonieuse, suave et molle rêverie. Et, en y réfléchissant, la chose semble plus singulière encore. Un grand mouvement, un vaste progrès, avec lequel sympathisait complètement M. Dovalle, s'accomplit dans l'art. Ce mouvement, nous l'avons déj

Il y a du talent dans les poésies de M. Dovalle; et pourtant sans preneurs, sans coterie, sans appui extérieur, ce recueil, on peut le prédire, aura tout de suite le succès qu'il mérite. C'est que M. Dovalle n'a besoin maintenant de qui que ce soit pour réussir. En littérature, le plus sûr moyen d'avoir raison, c'est d'être mort.