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Mis à jour: 15 juillet 2025


Et il avait deviné. Le général Douay, qui voyait l'extrême fatigue des troupes, désespérait de jamais atteindre la Besace, ce jour- l

Mais une nouvelle attente se fit, un état-major montait par l'étroit sentier du mamelon. C'était le général Douay, le visage anxieux, accourant. Et, lorsqu'il eut en personne interrogé les francs-tireurs, un cri de désespoir lui échappa. Même averti le matin, qu'aurait-il pu faire? La volonté du maréchal était formelle, il fallait traverser la Meuse avant le soir,

Le général Douay, alors, pendant que l'artillerie ennemie préparait de la sorte l'attaque suprême du calvaire, résolut de faire un dernier effort pour le reconquérir. Il envoya des ordres, il se jeta en personne parmi les fuyards de la division Dumont, réussit

Les jours qui suivirent, furent, dans leur monotonie, frissonnants d'attente et de malaise. Pour occuper ses troupes, le général Douay les fit travailler aux ouvrages de défense de la place, fort incomplets. On remuait la terre avec rage, on tranchait le roc. Et pas une nouvelle! était l'armée de Mac-Mahon? Que faisait-on sous Metz? Les rumeurs les plus extravagantes circulèrent,

D'autres voix expliquaient le mouvement, des nouvelles arrivaient. Vers deux heures du matin, un aide de camp du maréchal De Mac- Mahon était venu dire au général Douay que toute l'armée avait l'ordre de se replier sur Sedan, sans perdre une minute.

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