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Mis à jour: 4 mai 2025
Un flot de pleurs monta subitement de ce coeur battu par la vie et coula de ces yeux qui, peut-être, n'avaient jamais pleuré depuis son enfance. Les années d'isolement, d'humiliation, s'évanouirent en face de ce regard jeune et pur, et un instant il crut entrevoir les clartés divines d'une vie régénérée et fière. Toi! Enfin, je ne suis plus seul! disait-il en contemplant le visage de sa fille.
A Moelk, il fallut se séparer du brave pilote, et ce ne fut pas sans regret. Ils ne trouvaient pas dans les embarcations qui s'offrirent pour les mener plus loin les mêmes conditions d'isolement et de sécurité. Consuelo se sentait reposée, rafraîchie, aguerrie contre tous les accidents. Elle proposa
Et je vous assure que je n'éprouve pas, dans ce Pékin si distant et si différent, la sensation d'isolement moral que je ressens
«On vous a dit que je voulais me faire religieuse: j'y ai pensé longtemps et sérieusement; mais ce n'était pas par un instinct d'isolement farouche. Je voulais me consacrer
D'ailleurs Gamache n'était pas aussi méchant que nous le fait la légende. Basque, mais bon coeur sous sa rude écorce, il s'était entouré de mystère, et se faisait une réputation de sorcier pour ne pas se voir déranger dans cette vie de liberté et d'isolement qu'il aimait autant que sa gourde et son fusil.
Quand ils l'atteignirent, ils en eurent conscience, et cette date devait vivre toujours dans leur mémoire. Ce fut vers l'automne de la première année. Maurice, inquiet de voyages, las de la ville, tourmenté aussi d'un étrange besoin d'isolement, avait quitté Paris. Quinze jours durant, il parcourut, en pays d'Aveyron, les beaux sites mal explorés qui avoisinent Espalion et Figeac. Tout ce temps-l
À bout de recettes gourmandes, de patience et d'encaustique, Sido, maigrie d'isolement, pleura, et le Sauvage aperçut la trace des larmes qu'elle niait. Il comprit confusément qu'elle s'ennuyait, qu'une certaine espèce de confort et de luxe, étrangère
En cette année 1891, et dans les deux qui suivirent, les bûcherons de la Nièvre se liguaient pour obtenir le relèvement des salaires insuffisants. Dans les bois, aux heures de trêve, dans les cabarets, les dimanches, et dans les fermes où les machines, remplaçant les rouleaux et les fléaux, groupaient les hommes par bandes nombreuses, les ouvriers de la terre discutaient les intérêts du métier. Des mots qu'on n'avait point entendus depuis plus d'un siècle montaient sous les taillis ou entre les haies. Quelques très vieux arbres avaient frémi, jadis, au passage de mots semblables. On disait: «Les intérêts communs des ouvriers;... plus d'isolement, les individus sont faibles;... groupons-nous pour soutenir nos droits;... formons une caisse, nous abandonnerons chacun une part de nos salaires.» Les plaintes abondaient, s'exaspéraient l'une par l'autre: «On ne peut vivre! Les marchands nous exploitent! Plus de prix de misère!... Est-ce que cela suffit, un salaire de un franc vingt
J'ignore, reprit-elle, dans quel intérêt ce bruit a été répandu; l'espèce d'isolement dans lequel je vivais a pu jusqu'
C'est dans une de ces heures d'isolement, je m'en souviens, que j'essayai pour la première fois de faire une fable. Le croira-t-on? je n'en pus venir
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