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Mis à jour: 25 juin 2025
À ces paroles du roi Djanaka, les quatre jeunes guerriers de prendre la main des quatre jeunes vierges, et Çatânanda lui-même de bénir leur hymen. Ensuite, tous les couples, et l'un après l'autre, d'exécuter un pradakshina autour du feu; puis, le roi d'Ayodhyâ et tous les grands saints d'envoyer au ciel leurs hymnes pour demander aux Dieux un bon retour. Pendant le mariage, une pluie de fleurs, où se trouvait mêlée une abondance de grains frits, tomba du ciel
En ce moment tous les habitants d'Ayodhyâ, hommes, femmes, enfants, par le désir impatient de voir le sacre de Râma, soupiraient après le retour du soleil. Chacun désirait contempler cette grande fête.
Un grand saint, nommé Viçvâmitra, vint dans la ville d'Ayodhyâ, conduit par le besoin d'y voir le souverain.
Louison n'était pas morte en tombant dans les oubliettes de la tour d'Ayodhya. Elle était tombée comme tombent les chats et les tigres, sur ses pattes, et elle était demeurée étourdie de la chute et presque évanouie au fond de cet affreux précipice, pavé de rochers et d'ossements humains. Dès que Lakmana fut parti, elle reprit ses sens et s'orienta de son mieux. Par malheur, il n'y avait ni porte ni fenêtre, si ce n'est
Des courriers sont envoyés au roi d'Ayodhyâ. Annoncés au monarque, les messagers, introduits bientôt dans son palais, virent l
Aussitôt le son doux et grave de leurs chants, auxquels se mêlaient dans ce jour de fête les accords des instruments de musique, remplit toute la ville d'Ayodhyâ. À la nouvelle que le noble enfant de Raghou avait accompli avec son épouse la cérémonie du jeûne, tous les habitants de se livrer
C'est au milieu de ces récits, que Râma, environné des singes, entra dans Ayodhyâ, cité charmante, décorée en ce moment de guirlandes, pavoisée d'étendards, pleine d'un peuple gras et joyeux, avec ses places publiques, ses marchés et ses grandes rues bien arrosées, ses routes jonchées de fleurs, sans un intervalle, qui ne fût pas rempli de vieillards et d'enfants, au milieu desquels on entendait les femmes dire au monarque arrivé dans sa capitale: «Les habitants de cette ville désiraient te voir, sire, avec leurs frères, avec leurs fils, et, par bonheur, les dieux leur ont fait cette grâce aujourd'hui! Kâauçalyâ eut beaucoup de chagrin, Kakoutsthide; elle souffrit de ton absence infiniment, elle et dans la ville tous les habitants d'Ayodhyâ, sans aucune exception. Délaissée par toi, Râma, cette ville était comme un ciel qui n'a point de soleil, comme une mer
En cette ville d'Ayodhyâ était donc un roi, nommé Daçaratha, semblable aux quatorze dieux, très-savant et dans les Védas et dans leur appendice, les six Angas, prince
Râma, le devoir en personne, promenant sur eux ses regards et buvant de ses yeux, pour ainsi dire, l'amour de ces fidèles sujets, Râma leur tint ce langage, comme si tous ils eussent été ses propres fils: «Faites maintenant reposer entièrement sur la tête de Bharata, pour l'amour de moi, habitants d'Ayodhyâ, l'attachement et l'estime que vous avez mis en ma personne. Dans un âge où l'on est encore enfant, il est avancé dans la science; il est toujours aimable
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