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La chaleureuse sympathie de Frédéric III pour ses co-religionnaires de France, et surtout pour Coligny, éclate dans sa correspondance . Réciproquement, les lettres adressées par Coligny, d'Andelot, Condé, et autres,

V, p. 345. Autres références dans Lettres, t. C'était probablement une vendetta. Charry avait, quatorze ans auparavant, tué le frère de Chastelier-Portaut. À Paris l'impression fut vive. Les catholiques accusèrent d'Andelot et l'Amiral d'avoir dressé l'entreprise pour se débarrasser d'un adversaire.

Pardaillan sortit avec Marillac. Le vieux d'Andelot et Téligny étaient déj

Le mestre de camp de la garde du roi, Charry, fort de la faveur de Catherine et catholique ardent, refusait d'obéir au colonel général de l'infanterie française, d'Andelot, qui, révoqué pendant la guerre, avait été depuis rétabli dans sa charge. Le 1er janvier 1564, comme il passait de grand matin sur le pont Saint-Michel, accompagné de son lieutenant et du capitaine La Tourette, il fut assailli par Chastelier-Portaut, le guidon (porte-enseigne) de l'Amiral, par Mouvans, le chef des huguenots du Midi, et un soldat. Avant qu'il eût eu le temps de dégainer, Chastelier-Portaut «luy donna un grand coup d'espée dans le corps et la luy tortilla par deux fois dans ledict corps, afin de faire la plaie plus grande» . Charry et la Tourette morts, les assassins filèrent par le quai des Augustins et, au del

De ce nombre étaient les enfants de l'homme éminent dont plus que de tout autre, elle pleurait la mort, de Coligny. Deux des fils de la grande victime, Chastillon et d'Andelot, réfugiés en Suisse, venaient d'écrire, de Bâle,

Célèbre entre toutes les villes de la province pour avoir été la première qui reçut la réforme protestante apportée et propagée dans son sein par d'Andelot, frère de l'amiral de Coligny, la Roche-Bernard n'avait pas hésité

A ces craintes s'ajoutaient les griefs personnels. Le colonel général de l'infanterie française, d'Andelot, était en conflit d'attributions avec le maréchal de Cossé. Condé, qui aspirait en cas de guerre au commandement des armées avec le titre de lieutenant général, s'était entendu signifier par Henri d'Anjou, le fils préféré de Catherine, qu'il était bien osé de rechercher une charge qui revenait de droit au frère puîné du Roi. Cet adolescent il avait seize ans

[Note 553: D'Andelot, lorsqu'il cherchait