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«La faune de l'Ounyamouézi est la même que celle de l'Ousagara et de l'Ougogo: le lion, le léopard, l'hyène d'Abyssinie, le chat sauvage en habitent les forêts; l'éléphant, le rhinocéros, le buffle, la girafe, le zèbre, le quagga y parcourent le fond des vallées et les plaines; dans chaque étang de quelque étendue on trouve l'hippopotame et le crocodile; les quadrumanes y sont nombreux dans les jungles; celles de l'Ousoukouma renferment des cynocéphales jaunes, rouges et noirs, de la taille d'un lévrier, et qui d'après les indigènes, sont la terreur du voisinage; ils défient le léopard, et quand ils sont nombreux on assure qu'ils n'ont pas peur d'un lion. Enfin le colobe

Ici, dans ce salon, l'entourage des cariatides semblait en exclure la sauvage majesté. Il leur manquait l'immensité, le spectacle de l'espace embrasé par le simoun. Ils paraissaient n'être plus environnés de la solitude des siècles... mais ils portaient avec eux tout cela pour Fabriana. Son âme suppléait aux déserts pour ces ruines. A sa volonté, la chambre devenait profonde; sous son regard, les murailles se reculaient et se faisaient lointaines. Ces colosses noirs, arrachés aux tombeaux des rois d'Abyssinie et d'

M. Stern arriva en Abyssinie en 1860 et il fut bien reçu et bien traité par Sa Majesté. A son retour en Europe il publia une relation de ce voyage sous ce titre: Excursion parmi les Fellahs d'Abyssinie. Dans cet ouvrage, M. Stern parle très-favorablement de Théodoros; mais comme c'était un historien très-véridique, il donna sur la famille de l'empereur quelques détails qui, jusqu'

Ce furent le Roi d'Abyssinie et ce Mandar. Cosroès déchira la Lettre de Mahomet avec indignation. Héraclius répondit par des présents. Le Prince des Coptes lui envoya une Fille qui passait pour un chef-d'oeuvre de la Nature, et qu'on appelait La belle Marie.

Andraos, ce jeune prêtre, était seulement dans sa vingtième année. Lorsqu'il fut averti qu'il devait quitter son monastère et la compagnie des moines, ses frères, pour aller vivre dans le pays d'Abyssinie,

Le rhinocéros d'Abyssinie a, comme le précédent, des plis

Lij-Kassa, plus connu sous le nom de l'empereur Théodoros, était dans le Kouara, vers l'an 1818. Son père était un noble d'Abyssinie, et son oncle, le célèbre Dejatch Comfou, pendant plusieurs années, avait gouverné les provinces de Dembea, Kouara, Ischelga, etc., etc. A la mort de son oncle, Lij-Kassa fut nommé par la mère de Ras-Ali, Waizero Menen, gouverneur de Kouara. Mais mécontent de ce poste qui n'offrait qu'un petit champ

Quelques naturalistes, entre autres Cuvier, ont cru que l'éléphant d'Abyssinie appartenait

L'Abyssinie semble avoir été, de tout temps, un objet de fascination pour les Européens. Les deux premiers, dont le nom est lié aux dernières affaires d'Abyssinie, sont MM. Bell et Plowden, qui entrèrent dans ce pays en 1842. M. John Bell, plus connu dans ce pays sons le nom de Johannes, fut le premier attaché

Au mois de février 1865, un Cophte, Abdul Melak, se présenta an consulat de Jeddah, prétendant arriver d'Abyssinie porteur d'un message de l'Abouna an consul général anglais en Egypte. Il affirmait que s'il obtenait du consul général une déclaration par laquelle on s'engagerait, si l'empereur relâchait les prisonniers,