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Mis à jour: 30 avril 2025
Les maréchaux ducs de Conegliano, comte Serrurier, duc d'Istrie et prince d'Eckmühl, portaient les coins du poêle. Aux deux côtés du char, deux aides-de-camp du maréchal portaient deux étendards. Sur le cercueil étaient fixés le bâton de maréchal et les décorations du duc de Montebello.
«Le général Dombrowski est en avant de Wittenberg, ayant sous ses ordres six bataillons, dont le 4e régiment polonais fait partie, et deux régiments de cavalerie. «Le général Girard est, avec dix mille hommes, en avant de Magdebourg. «Le prince d'Eckmühl est, avec le corps auxiliaire danois,
Le général Excelmans fut dirigé sur les traces des Prussiens avec six mille hommes; un corps de quinze mille hommes d'infanterie, sous le commandement du général Vichery, devait le suivre par le pont de Sèvres et lier ses mouvemens avec six mille fantassins du 1er corps et dix mille chevaux d'élite, qui devaient déboucher par le pont de Neuilly. Mais au moment d'exécuter ces dispositions dont le succès eût indubitablement entraîné la perte de l'armée prussienne, le prince d'Eckmuhl, par des motifs que j'ignore, donna contre-ordre. Le général Excelmans soutint seul le combat. Il attaqua l'ennemi en avant de Versailles, le précipita dans une embuscade, le tailla en pièces et lui enleva ses armes, ses bagages, ses chevaux. Les généraux Strulz, Piré, Barthe, Vincent, les colonels Briqueville, Faudoas, Saint-Amant, Chaillou, Simonnet, Schmid, Paolini, et leurs braves régimens, firent des prodiges de valeur, et furent intrépidement secondés par les citoyens des communes voisines, qui avaient devancé en tirailleurs sur le champ de bataille l'arrivée de nos troupes, et qui, pendant l'action, se montrèrent dignes de combattre
Aussitôt le prince d'Eckmühl déclara que «puisqu'on se décidait
Le prince d'Eckmühl est
Tout autre fut l'accueil dans la maison de pauvre mine où s'était installé le prince d'Eckmühl. En campagne, l'illustre et rigide soldat, tout entier
Le conseil de guerre s'assembla dans la nuit du 1er au 2 juillet au quartier général de la Villette, sous la présidence du prince d'Eckmuhl. On y admit tous les maréchaux présens dans la capitale; et ceux qui naguère avaient refusé de combattre, ne refusèrent pas de venir capituler.
Nous avons perdu le général de division comte Montbrun, tué d'un coup de canon; le général comte Caulaincourt, qui avait été envoyé pour le remplacer, tué d'un même coup une heure après. Les généraux de brigade Compère, Plauzonne, Marion, Huart, ont été tués; sept ou huit généraux ont été blessés, la plupart légèrement. Le prince d'Eckmühl n'a eu aucun mal.
À cette époque, l'Empereur volait de Paris en Allemagne pour recommencer, avec ses invincibles armées, une guerre nouvelle contre l'Autriche. La brillante affaire d'Eckmühl venait d'être suivie de celle d'Essling. Napoléon, fidèle
L'attitude de la chambre et du gouvernement ne rassura point le prince d'Eckmuhl. Il revint
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