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Mis à jour: 10 juillet 2025
Quelquefois aussi, par groupes isolés, Jasper Hobson remarqua des saules, des peupliers, des bouleaux-nains et de nombreux buissons d'arbousiers. À cette époque de la saison chaude, tous ces arbres étaient verdoyants, et ils étonnaient un peu le regard, habitué aux profils âpres et nus des paysages polaires.
L'autre plante, connue dans tout le nord de l'Amérique sous le nom de «thé du Labrador», poussait en grande abondance sur les bords du lagon, entre les bouquets de saules et d'arbousiers, et elle formait la nourriture favorite des lièvres polaires.
C'était le maquis, l'impénétrable maquis, formé de chênes verts, de genévriers, d'arbousiers, de lentisques, d'alaternes, de bruyères, de lauriers-tins, de myrtes et de buis que reliaient entre eux, les mêlant comme des chevelures, des clématites enlaçantes, des fougères monstrueuses, des chèvrefeuilles, des cystes, des romarins, des lavandes, des ronces, jetant sur le dos des monts une inextricable toison.
A mi-hauteur, derrière un massif d'arbousiers et de plantes saxifrages, la nature a pratiqué une étroite ouverture par laquelle on pénètre dans une enfilade de galeries souterraines aussi curieuses par leur étendue que par la variété des formes qu'elles affectent.
Toute la pente, au-dessous de moi et en avant, a été ravagée. Sur plus de cinq cents mètres de profondeur, elle est hérissée de ceps d'arbousiers morts, d'un gris blanc, d'un gris de vieil ossement, et entre lesquels se lève, ç
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