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Mis à jour: 20 juin 2025


Cependant au premier bruit qu'avait occasionné le désarmement de la garde, Rachel, entendant parler d'émeute, ordonne

D'un pas hésitant, il rentra dans l'huilerie. Il y régnait une atmosphère d'émeute. Les pilons dansaient, bondissaient et, dans l'infernal tumulte, les ouvriers échangeaient

La palissade la barrait toujours, il fallait venir de nuit, en cachette, lorsqu'on voulait prier et emporter une bouteille de l'eau volée. Cependant, les craintes d'émeute grandissaient, on racontait que les villages de la montagne devaient descendre, pour délivrer Dieu. C'était la levée en masse des humbles, une poussée si irrésistible des affamés du miracle, que le simple bon sens, le simple bon ordre allaient être balayés comme paille. Et ce fut Mgr Laurence, dans son évêché de Tarbes, qui dut se rendre le premier. Toute sa réserve, tous ses doutes, se trouvaient débordés par le mouvement populaire. Il avait pu, pendant cinq grands mois, se tenir

Un soleil chaud, presque un soleil d'été, éclaira cette matinée du 1er octobre. Pas un nuage au ciel: il ne fallait pas compter sur la pluie, fatale aux mouvements de rue, bonne auxiliaire des gouvernants aux jours d'émeute. Les manifestants avaient le ciel pour eux. Hermann s'en réjouit: l'épreuve qu'il tentait serait ainsi plus décisive. Il était seul dans son cabinet.

Au milieu de dangers si imminents et de calamités de tous genres, le général en chef Masséna restait impassible et calme, et pour éviter toute tentative d'émeute, il fit proclamer que les troupes françaises avaient ordre de faire feu sur toute réunion d'habitants qui s'élèverait

N'en doutez pas, reprit Léon. «Trahison! trahisonc'est le vrai cri d'émeute, le cri qui donne des ailes aux foules, qui fait marcher du même pas les braves et les lâches, qui communique un même coeur

L'empire déclinait. On distinguait clairement dans tous ses actes les symptômes qui annoncent les choses finissantes. En octobre 1869, Louis Bonaparte viola sa propre constitution. Il devait convoquer le 29 ce qu'il appelait ses chambres. Il ne le fit pas. Le peuple eut la bonté de s'irriter pour si peu. Il y eut menace d'émeute.

Les coups de ce tocsin nocturne tombent sur les faubourgs indécis. On bat la générale dans toutes les rues, les autres cloches de la ville s'éveillent, les cris d'alarme se répondent dans les ténèbres. Au milieu de tout ce mouvement, de ce cliquetis d'armes, de ce bruit de tambours, on entend l'impassible marteau des monuments publics qui frappe les heures de distance en distance. Il n'est personne qui n'ait remarqué dans une nuit d'émeute ou de révolution, l'indifférence solennelle de l'horloge. Cette voix d'airain qui marque sur le même ton l'heure de la révolte ou de la tranquillité publique, étrangère aux passions, aux souffrances, aux agitations de l'homme, calme ainsi que tout ce qui sort de l'éternité pour y rentrer aussitôt, elle paraît dire: «Tuez-vous, égorgez-vous, si bon vous semble, vous n'aurez point l'honneur de troubler dans les espaces célestes la marche des astres

Le cortège est organisé. On monte en voiture. Malgré une petite pluie fine, une population grouillante autour de la mairie de Passy, comme un jour d'émeute... C'est effrayant le monde dans la salle, c'est tout le monde politique, tout le monde littéraire, tout le monde élégant, enfin tous les mondes de Paris. Un moment de houle dans cette foule pressée, tassée, devant un bouquet monstre aux rubans tricolores, qu'une députation pénétrant de force dans la salle, veut porter

Enjolras parlait comme un vrai général d'émeute qu'il était. L'insurrection et la répression ne luttent point

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