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Rougon est chaste», déclara solennellement M. Béjuin. M. La Rouquette fut pris d'un fou rire. Il protestait; il aurait cité des faits, s'il avait voulu. «Ainsi, murmura-t-il, Mme Correur... Jamais! dit M. Kahn, vous ne connaissez pas cette histoire. Eh bien, la belle Clorinde alors!

Ses autres conseils, très pratiques, montraient sa grande amitié pour Clorinde. Ce fut lui qui l'amena doucement

Et, se tournant vers un groupe voisin, composé de Clorinde, de son mari et de M. de Plouguern: «Monsieur Delestang, donnez-nous donc votre avis.... J'ai gardé le meilleur de ma visite

Clorinde, devenue maîtresse toute-puissante, avait eu l'idée de faire revenir sa mère de Turin; elle voulait désormais, disait-elle, que la comtesse Balbi passât auprès d'elle six mois chaque année. Ce fut alors une explosion subite de tendresse filiale. Elle bouleversa un étage de l'hôtel pour loger la vieille dame le plus près possible de son appartement. Même elle inventa une porte de communication qui allait de son cabinet de toilette dans la chambre

Et se penchant vers Delestang, parlant dans ses cheveux, qu'elle soulevait d'un souffle tiède: «N'est-ce pas, mon ami, il serait bien sage, aussi sage que toiPour toute réponse, il plia le cou et baisa la main appuyée sur son épaule gauche. Il regardait Rougon, la face émue et embarrassée, clignant les yeux, voulant lui faire entendre qu'il allait peut-être un peu loin. Rougon faillit l'appeler imbécile. Mais Clorinde ayant fait un signe par-dessus la tête de son mari, il la suivit

Une grande fille, d'une admirable beauté, mise très étrangement, avec une robe de satin vert d'eau mal faite, venait d'entrer dans la loge du Corps diplomatique, suivie d'une dame âgée, vêtue de noir. «Tiens! la belle Clorindemurmura M. La Rouquette, qui se leva pour saluer

Pendant les mois d'août et de septembre, Clorinde multiplia ses visites. Elle venait maintenant jusqu'

Un matin, vers onze heures, Clorinde vint chez Rougon, rue Marbeuf. Elle rentrait du Bois; un domestique tenait son cheval,

«A propos, reprit Clorinde en poussant M. de Plouguern au fond de l'embrasure, j'ai compté sur toi pour me donner des détails.... Que sais-tu au sujet des fameuses lettres de Mme de Llorentz? Mais ce que tout le monde sait», répondit-il.

Cela devrait lui suffire, que diable! en attendant mieux. Et il évite de me saluer! C'est un sotMaintenant, Clorinde, les yeux baissés, les doigts jouant avec le gland de son ombrelle, ne bougeait plus. Elle le laissait aller, elle ne perdait pas une phrase.